Moi : Alors, quand est-ce qu'on se voit, minou ?
G. : Humm je sais pas, il faudrait que je demande à ma blonde...
Moi : Euhh... quoi ?
G. : Ben oui... ça la fait chier que je revois mon «ex» et je veux vraiment pas lui faire de peine...
Moi : Primo, je te sauterai pas dessus, je suis en couple, bordel. Secundo, c'est fini depuis longtemps, notre «histoire». Tu me laisses lui parler 2 minutes pour que je mette quelques trucs au clairs ?
G. : Bah ouais. De toute façon si on se voit, elle va être là.
Moi : ...
G. : Ben oui, ça se fait pas, sinon.
Moi : Tu es en train de dire que tu es à Montréal pour tout l'été et que je ne pourrai pas te voir seule à seul ?
G. : ... C'est juste pas le bon contexte.
Moi : Ok, laisse faire, je commence à comprendre qu'on se verra pas du tout.
Note : Le texte a été abrégé afin de ne retenir que les passages importants.
Je suis la seule à trouver ça tout à fait dégueulasse ?
Ce qui est dégueulasse, c'est d'être dans un couple aussi fermé, possessif et jaloux. Quand je lui ai fait remarquer que ce n'était pas normal, il a dit qu'il était «bien» là-dedans. Humf.
Ce qui est tout aussi dégueulasse, c'est d'être incapable de mettre ses culottes et de voir ceux qui sont importants pour nous, par peur de déplaire à sa blonde.
Finalement, ce qui est dégueulasse, c'est que j'ai envie de le voir, moi, Ghys. Bon.
Et contrairement à la blonde de ce dernier, le Copain, il est tout à fait d'accord avec ça et il n'en a rien à cirer, que je vois les gens dont j'ai envie.
Franchement, non seulement ça me fâche, mais ça me fait de la peine, aussi.
mardi 30 juin 2009
samedi 13 juin 2009
Absences prolongées
Avant, j'étalais tous mes drames sur un blog.
Ensuite, je me suis mise à y écrire des banalités.
Maintenant, j'ai envie de vous dire des choses intéressantes, mais je ne trouve rien qui vaille la peine d'être écrit.
Voilà pourquoi mes posts sont de plus en plus espacés.
En plus, même si je voulais revenir à la première phase, j'en ai pas, de gros drames...
Vous pouvez toujours (re)visiter ceux du passé, ceux d'il y a 3 ou 4 ans...
MON SECONDAIRE 2 !
Ensuite, je me suis mise à y écrire des banalités.
Maintenant, j'ai envie de vous dire des choses intéressantes, mais je ne trouve rien qui vaille la peine d'être écrit.
Voilà pourquoi mes posts sont de plus en plus espacés.
En plus, même si je voulais revenir à la première phase, j'en ai pas, de gros drames...
Vous pouvez toujours (re)visiter ceux du passé, ceux d'il y a 3 ou 4 ans...
MON SECONDAIRE 2 !
lundi 1 juin 2009
De retour de NYC
New York, c'est...
1. Haut (tellement haut que les buildings nous font de l'ombre toute la journée).
2. Populeux (Times Square, c'est monstrueux, c'est chaotique, c'est très... humain).
3. Puant (cigarettes, égouts, voitures, surpopulation... un beau mélange).
4. Extrêmement excitant.
On a fait les mêmes choses que tous les touristes lorsqu'ils vont visiter la capitale américaine (statue de la liberté, Chinatown, Petite Italie, Times Square, magasinage, etc.) et ça m'a donné envie de faire ma maîtrise aux États-Unis. Ben oui. D'aller dans une université prestigieuse. De me défoncer pendant 2 ans sans arrêt pour décrocher un diplôme qui va m'amener où je veux.
Je suis comme ça, moi. Je rêve, j'ambitionne, je vise haut, peut-être un peu trop.
Mais si ma tante est au doctorat en arts à Columbia, pourquoi est-ce que je ne serais pas à la maîtrise en droit à Harvard, hein?
(Réponse : Parce que je n'ai pas 120 000$ à portée de la main)
1. Haut (tellement haut que les buildings nous font de l'ombre toute la journée).
2. Populeux (Times Square, c'est monstrueux, c'est chaotique, c'est très... humain).
3. Puant (cigarettes, égouts, voitures, surpopulation... un beau mélange).
4. Extrêmement excitant.
On a fait les mêmes choses que tous les touristes lorsqu'ils vont visiter la capitale américaine (statue de la liberté, Chinatown, Petite Italie, Times Square, magasinage, etc.) et ça m'a donné envie de faire ma maîtrise aux États-Unis. Ben oui. D'aller dans une université prestigieuse. De me défoncer pendant 2 ans sans arrêt pour décrocher un diplôme qui va m'amener où je veux.
Je suis comme ça, moi. Je rêve, j'ambitionne, je vise haut, peut-être un peu trop.
Mais si ma tante est au doctorat en arts à Columbia, pourquoi est-ce que je ne serais pas à la maîtrise en droit à Harvard, hein?
(Réponse : Parce que je n'ai pas 120 000$ à portée de la main)
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