VIVE le fait que je sais cuisiner.
Je viens de me faire sauter du tofu avec des oignons, des piments et une petite sauce sucrée.
La température dans mon studio vient de passer de 26 degrés à 29, mais TANT PIS, je mange quelque chose de bon (différent des sandwichs ou essais culinaires incertains précédents) et qui plus est, contient peu de calories et beaucoup de nutriments!
Ceux qui disent que le tofu est mauvais ne savent pas de quoi ils parlent; il suffit de lui donner le goût dont on a envie!
Mmm... il me reste 2 portions dans le congélateur.
*Bave*
mercredi 3 septembre 2008
mardi 2 septembre 2008
Procrastination à l'état pur
J'ai un projet de session à continuer. Des pages à lire en Psychologie. Deux chapitres à comprendre en Santé et activité physique. De la vaisselle à laver et du linge à plier.
Too bad!
Je m'en vais écouter le Roi Lion.
Too bad!
Je m'en vais écouter le Roi Lion.
Surprise!
Aujourd'hui, il m'est arrivé quelque chose d'assez inhabituel. En fait, les risques de probabilité que ça arrive frôlaient le 0. Je dirais même que s'il y avait eu un tremblement de terre doublé d'un ouragan, je n'aurais pas été prise davantage au dépourvu.
Cours d'éducation physique. Badminton. Frappe, frappe les volants. Manque, manque les moineaux. Je ris un peu de moi-même (vaut mieux en rire qu'en pleurer, hein!) et finalement, je prends une mini-pause pour aller boire de l'eau. Quand je reviens, un mec est installé dans la partie adverse de mon terrain.
- Nanon. Tu es pas un poche, toi. Les bons, ils jouent là-bas!
- Il reste plus de place... c'est pas très grave.
- Ok, mais joue pas trop hard.
Frappe, frappe les volants. Manque, manque les moineaux. Je ris un peu de moi-même et il me donne des trucs pour que ça aille mieux. Finalement, on rigole pas mal, il se met à jouer un peu plus vite, je me mets à suer un peu plus. Et là... dans toute ma sueur et mon incompétence sportive... les sourires en coin commencent. Les petites paroles de cruise presque subtiles débarquent. Moi, presque à mon insu, je me mets à y prendre plaisir.
Primo: Comment un gars peut-il possiblement craquer pour moi alors que je montre l'étendue de mon manque de talent en sports? Ajoutez aussi à cela le fait que j'ai l'air d'une vache sur Sainte-Catherine quand je tente de jouer et vous avez une idée de l'impression que je donne.
Secundo: Il faisait 30 degrés dehors. Imaginez la chaleur suffocante qu'il peut faire dans un gymnase rempli avec 40 boules d'hormones. Imaginez maintenant l'état dans lequel je pouvais être.
Tertio: J'avais mes vieux shorts d'éducation physique du secondaire... vous savez, ceux qui sont faits pour les gars et qui ont au moins une taille de trop pour moi?
Tout ça pour dire... j'aime beaucoup les gens qui ont les cheveux frisés comme des ressorts. Ils gagnent à être connus.
Cours d'éducation physique. Badminton. Frappe, frappe les volants. Manque, manque les moineaux. Je ris un peu de moi-même (vaut mieux en rire qu'en pleurer, hein!) et finalement, je prends une mini-pause pour aller boire de l'eau. Quand je reviens, un mec est installé dans la partie adverse de mon terrain.
- Nanon. Tu es pas un poche, toi. Les bons, ils jouent là-bas!
- Il reste plus de place... c'est pas très grave.
- Ok, mais joue pas trop hard.
Frappe, frappe les volants. Manque, manque les moineaux. Je ris un peu de moi-même et il me donne des trucs pour que ça aille mieux. Finalement, on rigole pas mal, il se met à jouer un peu plus vite, je me mets à suer un peu plus. Et là... dans toute ma sueur et mon incompétence sportive... les sourires en coin commencent. Les petites paroles de cruise presque subtiles débarquent. Moi, presque à mon insu, je me mets à y prendre plaisir.
Primo: Comment un gars peut-il possiblement craquer pour moi alors que je montre l'étendue de mon manque de talent en sports? Ajoutez aussi à cela le fait que j'ai l'air d'une vache sur Sainte-Catherine quand je tente de jouer et vous avez une idée de l'impression que je donne.
Secundo: Il faisait 30 degrés dehors. Imaginez la chaleur suffocante qu'il peut faire dans un gymnase rempli avec 40 boules d'hormones. Imaginez maintenant l'état dans lequel je pouvais être.
Tertio: J'avais mes vieux shorts d'éducation physique du secondaire... vous savez, ceux qui sont faits pour les gars et qui ont au moins une taille de trop pour moi?
Tout ça pour dire... j'aime beaucoup les gens qui ont les cheveux frisés comme des ressorts. Ils gagnent à être connus.
Je mange des petits carottes et il y en a une sur deux qui goûte la merde.
Mais il y en a aussi une autre sur deux qui goûte bon.
C'est ma faute. Je les ai négligées; ça fait une semaine qu'elles traînent dans mon réfrigérateur, dans le tiroir légumes.
Ça me fait penser qu'il serait temps que je fasse décongeler ma vie, avant qu'elle se mette à ratatiner et à se recouvrir de glace, jusqu'à ne plus avoir aucune saveur.
Alice a hâte que la vie pèse sur «play» .
Mais qu'est-ce que j'ai bien pu faire avec le télécommande?
C'est ma faute. Je les ai négligées; ça fait une semaine qu'elles traînent dans mon réfrigérateur, dans le tiroir légumes.
Ça me fait penser qu'il serait temps que je fasse décongeler ma vie, avant qu'elle se mette à ratatiner et à se recouvrir de glace, jusqu'à ne plus avoir aucune saveur.
Alice a hâte que la vie pèse sur «play» .
Mais qu'est-ce que j'ai bien pu faire avec le télécommande?
samedi 30 août 2008
Ma musique est sur shuffle et elle rit de moi
Je viens de me rendre compte d'un truc.
Je ne le déteste plus.
Je n'en garde pas de bons souvenirs, mais je n'ai plus le haut-le-coeur lorsque sa pensée me vient en tête.
Ça ne change rien à ce que j'ai pu dire. Ça n'arrange rien à mes désillusions (de la vie, de l'amour, du sexe). Sauf que je me souviens m'être déjà dit que le jour où ma frustration allait complètement partir, ce serait la libération de tout ça (aussi appelé Tout le Mal).
Ben voilà.
Je ne le déteste plus.
Je n'en garde pas de bons souvenirs, mais je n'ai plus le haut-le-coeur lorsque sa pensée me vient en tête.
Ça ne change rien à ce que j'ai pu dire. Ça n'arrange rien à mes désillusions (de la vie, de l'amour, du sexe). Sauf que je me souviens m'être déjà dit que le jour où ma frustration allait complètement partir, ce serait la libération de tout ça (aussi appelé Tout le Mal).
Ben voilà.
Libellés :
Dans ma tête,
Mes souvenirs,
Pensées désagréables
jeudi 28 août 2008
Toute seule.
Bon. J'ai eu l'occasion de jaser avec plusieurs personnes qui sont dans mes cours, mais...
J'EN N'AI PAS, D'AMIS!
Bouh.
Oui, bon. Il y a les gens du camp. Quand on se voit, on jase jusqu'à notre prochain cours... mais des personnes avec qui je sors le soir? Des personnes avec qui je passe toutes mes pauses?
En une semaine, ça devrait être le cas pourtant, non? Surtout en résidence... je suis tellement toute seule! Il y avait un party hot-dog ce soir, mais j'ai fait réchauffer ma soupe sans y penser et après, j'étais trop gênée de descendre comme ça, quand tout le monde avait mangé... buuuh.
Je m'étais dit que j'allais rencontrer des résidents dans mes cours. Mais non! Ils sont tous dans des programmes pas mal plus spécialisés, genre Double DEC en musique, technologie de l'architecture et ce genre de trucs qu'on ne retrouve pas partout. Sciences Humaines Monde (même si ça porte un nom différent ici). Qui viendrait de l'extérieur, paierait une résidence à 500$ pour ça?
D'accord pour ceux qui vivent à l'autre bout de Montréal et qui ont un peu plus de métro à faire chaque matin. Ouais, ça il y en a en masse. Pas des petites puces perdues dans un 1½ comme moi, par exemple.
AHHH JE NE ME PEUX PLUS. Je veux des amis!
Et je veux un chum. Même si je vais vous dire le contraire si vous me le demandez et que si l'occasion se présente, je vais la repousser tant que je peux.
Gneuh.
J'EN N'AI PAS, D'AMIS!
Bouh.
Oui, bon. Il y a les gens du camp. Quand on se voit, on jase jusqu'à notre prochain cours... mais des personnes avec qui je sors le soir? Des personnes avec qui je passe toutes mes pauses?
En une semaine, ça devrait être le cas pourtant, non? Surtout en résidence... je suis tellement toute seule! Il y avait un party hot-dog ce soir, mais j'ai fait réchauffer ma soupe sans y penser et après, j'étais trop gênée de descendre comme ça, quand tout le monde avait mangé... buuuh.
Je m'étais dit que j'allais rencontrer des résidents dans mes cours. Mais non! Ils sont tous dans des programmes pas mal plus spécialisés, genre Double DEC en musique, technologie de l'architecture et ce genre de trucs qu'on ne retrouve pas partout. Sciences Humaines Monde (même si ça porte un nom différent ici). Qui viendrait de l'extérieur, paierait une résidence à 500$ pour ça?
D'accord pour ceux qui vivent à l'autre bout de Montréal et qui ont un peu plus de métro à faire chaque matin. Ouais, ça il y en a en masse. Pas des petites puces perdues dans un 1½ comme moi, par exemple.
AHHH JE NE ME PEUX PLUS. Je veux des amis!
Et je veux un chum. Même si je vais vous dire le contraire si vous me le demandez et que si l'occasion se présente, je vais la repousser tant que je peux.
Gneuh.
mardi 26 août 2008
Maintenant que je respire normalement...
Ah oui, je vous l'ai pas dit? Ça s'est super bien passé!
Finalement, le cégep, j'aime ça.
J'ai bien hâte de voir ce que ça va donner, au final!
Finalement, le cégep, j'aime ça.
J'ai bien hâte de voir ce que ça va donner, au final!
lundi 25 août 2008
samedi 23 août 2008
Nouvelle ville, nouvelle école, nouvelle maison
Bon, ben, voilà. Je suis déménagée! C'est minuscule, on crève de chaleur dans la canicule (je suis au 4e étage), mais c'est tout mignon et c'est chez moi!
Aujourd'hui, j'ai fait un tour du quartier. C'est mignon, tout de même. C'est certain que la première chose que je dois demander c'est «Parlez-vous français?» lorsque je veux aborder quelqu'un, mais faute de le parler, la plupart des gens le comprennent.
Sinon hum, je ne connais personne, la ville est énorme et je suis un peu perdue, donc je remets énormément en question les fondements de mon choix de cégep. C'est sûrement simplement le changement brusque que ça fait dans ma vie et je crois qu'au final, je vais bien m'adapter et y être heureuse.
En attendant, je suis encore au : «Mais qu'est-ce qui m'est passé par la tête, BON SANG?»
Aujourd'hui, j'ai fait un tour du quartier. C'est mignon, tout de même. C'est certain que la première chose que je dois demander c'est «Parlez-vous français?» lorsque je veux aborder quelqu'un, mais faute de le parler, la plupart des gens le comprennent.
Sinon hum, je ne connais personne, la ville est énorme et je suis un peu perdue, donc je remets énormément en question les fondements de mon choix de cégep. C'est sûrement simplement le changement brusque que ça fait dans ma vie et je crois qu'au final, je vais bien m'adapter et y être heureuse.
En attendant, je suis encore au : «Mais qu'est-ce qui m'est passé par la tête, BON SANG?»
jeudi 21 août 2008
Pour moi, l'été se termine aujourd'hui. Demain, je déménage à Montréal et tout va changer.
Je déménage à Montréal.
Je ne déménage pas, dans ma tête. Je me réveille et tout est toujours pareil. Je fais la rentrée scolaire comme chaque année, avec ma jupe d'écolière et mes bas de golf, et je fais des câlins à tous ceux que je n'ai pas vus pendant l'été.
Mais non. Cette année, je rentre au cégep sans connaître qui que ce soit et je tente de me tailler une petite place. Une place dans le cégep, mais aussi une place dans le coeur de ses étudiants.
Je croise les doigts pour que ça se passe bien, je prie et je garde le sourire!
Je déménage à Montréal.
Je ne déménage pas, dans ma tête. Je me réveille et tout est toujours pareil. Je fais la rentrée scolaire comme chaque année, avec ma jupe d'écolière et mes bas de golf, et je fais des câlins à tous ceux que je n'ai pas vus pendant l'été.
Mais non. Cette année, je rentre au cégep sans connaître qui que ce soit et je tente de me tailler une petite place. Une place dans le cégep, mais aussi une place dans le coeur de ses étudiants.
Je croise les doigts pour que ça se passe bien, je prie et je garde le sourire!
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