Et maintenant, on est comme 2 étrangers.
La vie, le destin?
Je ne sais pas. Je crois qu'on l'a cherché, même si on n'a définitivement pas eu de chance.
Je pèse sur «pause» dans tout ça. Pas sur stop, pas encore. Parce que dans 3 ans, tu auras fini le cégep, moi aussi... et alors, on ne sait pas ce que la vie nous réservera, ni ce qu'on décidera d'en faire. Je ne sais pas non plus qui tu seras, à ce moment-là, si tu te seras retrouvé.
Ce que je sais, c'est qu'en ce moment, je t'aime moins. Je ne t'ai pas oublié, non ; mais je ne développerais rien avec celui que tu tentes d'être. Et tu ne m'empêches pas de vivre. Tu n'occupes pas toutes mes pensées. Par contre, quand j'y pense, je sens bien que tout ça n'est pas complètement fini.
Ça ne l'a jamais été.
On se revoit au générique?
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