Mange, bois, tire tes mouches
Et n'oublie pas de trouver la louche
Elle crie, elle meure dans tes souliers
Et sans un geste, tu l'as mangé
Tu manges, tu chies, tu exècres
Car c'est ainsi que le veut le ciel
Tu crois que jamais
Jamais
Jamais
Non, jamais
Ce ne sera toi
Je l'ai posté ici par erreur. Pis finalement, j'ai envie de le laisser. Je ne suis pas une poète. Mais j'aime m'auto-analyser.
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1 commentaire:
C'est tout récemment que j'ai découvert les joies de l'écriture automatique. En me relisant j'ai compris une couple d'affaires à mon proposz. C'est vraiment fascinant.
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