Un petit post pour venir écrire les derniers développements, dans ce magnifique printemps qui s'annonce sur le thème du bonheur!
Alors voilà, je vous ai négligés, mais Le Copain et moi, on part en appartement ensemble dès le mois de mai. Ben oui! Surprise! Ce fut une décision rapide, mais vous savez, parfois, on n'a pas réellement besoin de plus de jours de réflexion, pour savoir ce qu'on veut. Donc, c'est cela, après avoir visité des tas de 4½ (ben... 3, en fait), on s'est trouvé un petit nid douillet tout près de l'Université de Montréal et à quelques stations de métro à peine de mon cégep. Je pousse encore de petits d'angoisse, mais franchement, j'ai affreusement hâte d'emménager. Ça ne peut que bien aller!
Dans une autre sphère de ma si palpitante vie... j'ai été accepté pour le programme SENS! Le programme SENS (Sensiblisation aux Échanges Nord-Sud), c'est une option spéciale à mon cégep, qui permet aux étudiants en Sciences Humaines de modifier un peu leur horaire pour avoir des cours axés sur le Sud (Amérique Latine, Afrique) tout ça dans l'optique d'aller passer un mois dans un pays de l'Hémisphère Sud à la fin du programme. Depuis quelques années, ils vont en Équateur, alors ce sera probablement notre cas aussi. Ça faisait quelques années que j'avais envie de visiter ce pays, c'est l'occasion rêvée!
DE PLUS! Je voulais peut-être prendre une année sabatique pour voyager... mais ce projet-là me permet de rester autant de temps que je veux là-bas. Donc, je penserais bien rester pour le reste de l'été (Donc, de fin mai à fin août) et commencer l'université en automne 2010, comme mon cheminement «normal» ferait en sorte. Donc, je ne «perds» pas d'année et tout est merveilleux :) .
Sinon, il fait beau, il fait chaud (sauf aujourd'hui, mais demain, le beau temps reviendra!), je suis très occupée et j'ai hâte en mautadit que la session finisse...
Mais ça s'en vient, plus que 6 semaines de cours!
Vivement l'été!
lundi 30 mars 2009
vendredi 20 mars 2009
18 ans
Ben oui. Finalement. C'est demain!
Aujourd'hui, c'est donc ma dernière journée d'immaturité. Je pense que je vais en profiter pour faire des blagues de pipi-caca-poil toute la journée.
Je l'ai attendu, je l'ai rêvé. Ben voilà. À moi la carte de crédit, le cellulaire, les bars, le vote, l'alcool, les films pornos, le gros lot (parce que moi, à mes 18 ans, je vais acheter un billet de loterie et je vais gagner, vous savez).
Fini, les demandes de consentement des parents (ce qui est un peu dur, quand ceux-ci sont à 350 km de moi...).
Le 21 je me fais... tatouer!
Un escargot, comme de fait.
Oh, et mes 3 meilleures amies de Trois-Rivières vont venir, ce soir... j'ai si hâte de les voir!
On sera une vingtaine en tout, et ce sera tout simplement génial.
Oui, définitivement, j'ai hâte à ce soir... et à demain!
Aujourd'hui, c'est donc ma dernière journée d'immaturité. Je pense que je vais en profiter pour faire des blagues de pipi-caca-poil toute la journée.
Je l'ai attendu, je l'ai rêvé. Ben voilà. À moi la carte de crédit, le cellulaire, les bars, le vote, l'alcool, les films pornos, le gros lot (parce que moi, à mes 18 ans, je vais acheter un billet de loterie et je vais gagner, vous savez).
Fini, les demandes de consentement des parents (ce qui est un peu dur, quand ceux-ci sont à 350 km de moi...).
Le 21 je me fais... tatouer!
Un escargot, comme de fait.
Oh, et mes 3 meilleures amies de Trois-Rivières vont venir, ce soir... j'ai si hâte de les voir!
On sera une vingtaine en tout, et ce sera tout simplement génial.
Oui, définitivement, j'ai hâte à ce soir... et à demain!
mercredi 11 mars 2009
Parce qu'Amélie m'a taggée!
vendredi 6 mars 2009
Petit truc pas retravaillé
- C'est fini, rhabille-toi.
Je remets ma jupe, en attachant les boutons un par un. Je prends un temps infini pour le faire, tout en l'observant du coin de l'oeil.
Lui, il se dépêche. Il regarde sa montre ; je l'aperçois deux ou trois fois, alors qu'il tente (trop rapidement) de rattacher sa ceinture.
- J'ai pas toute la journée.
Comme si je le dérangeais. Comme si, en acceptant que je m'offre à lui, il me faisait une faveur. Je suis son objet. Il m'utilise. Qu'il me gifle! Je ne résisterai pas. Qu'il me souille, me salisse, m'éjacule sur les seins! Je resterai impassible. Qu'il me fouette, m'étrangle, me tue; je suis à lui, je lui appartiens, il est mon maître et je suis sa chienne.
Je continue à attacher mes boutons.
Il soupire d'impatience, attrape ma chemise, me l'enfile un peu trop brusquement. Il me jette ma veste. Me pousse jusqu'à la porte.
- Il faut que tu t'en ailles ; j'attends quelqu'un. À lundi.
La porte s'est déjà fermée dans mon dos. En sortant du bloc, j'ai le temps d'apercevoir la grande brune qui se dirige au deuxième étage. Son parfum me donne mal au coeur ; le bruit de ses talons hauts m'agresse.
Peut-être que lundi, il me demandera en mariage.
Je remets ma jupe, en attachant les boutons un par un. Je prends un temps infini pour le faire, tout en l'observant du coin de l'oeil.
Lui, il se dépêche. Il regarde sa montre ; je l'aperçois deux ou trois fois, alors qu'il tente (trop rapidement) de rattacher sa ceinture.
- J'ai pas toute la journée.
Comme si je le dérangeais. Comme si, en acceptant que je m'offre à lui, il me faisait une faveur. Je suis son objet. Il m'utilise. Qu'il me gifle! Je ne résisterai pas. Qu'il me souille, me salisse, m'éjacule sur les seins! Je resterai impassible. Qu'il me fouette, m'étrangle, me tue; je suis à lui, je lui appartiens, il est mon maître et je suis sa chienne.
Je continue à attacher mes boutons.
Il soupire d'impatience, attrape ma chemise, me l'enfile un peu trop brusquement. Il me jette ma veste. Me pousse jusqu'à la porte.
- Il faut que tu t'en ailles ; j'attends quelqu'un. À lundi.
La porte s'est déjà fermée dans mon dos. En sortant du bloc, j'ai le temps d'apercevoir la grande brune qui se dirige au deuxième étage. Son parfum me donne mal au coeur ; le bruit de ses talons hauts m'agresse.
Peut-être que lundi, il me demandera en mariage.
mardi 3 mars 2009
Gros bébé
«Si vous voulez étudier quelque chose de facile, allez en Sciences Natures. C'est ridiculement simple : toujours les mêmes formules, les mêmes règles. Tout est objectif, fixé dans le béton. Les Sciences Humaines, c'est difficile : les choses évoluent, les facteurs ne sont jamais les mêmes. Tout est subjectif, en constant changement.»
Je n'ai jamais été aussi d'accord.
Avoir 100% en mathématiques? Il n'y a rien de plus facile.
Avoir 100% dans un résumé de sociologie, c'est à la limite de l'impossible.
Ça me fâche. Je suis vraiment un gros bébé.
Je n'ai jamais été aussi d'accord.
Avoir 100% en mathématiques? Il n'y a rien de plus facile.
Avoir 100% dans un résumé de sociologie, c'est à la limite de l'impossible.
Ça me fâche. Je suis vraiment un gros bébé.
dimanche 1 mars 2009
À l'envers
Soirée particulièrement difficile, au boulot.
J'ai un mal de gorge terrible, tout le monde est à cran, la tension est palpable à l'oeil nu. On ne se crie pas dessus, mais c'est tout juste. Il faut dire qu'on est tous fatigués, pour diverses raisons. Quand même : une ambiance glaciale, un peu comme dehors, présentement.
Et à travers tout ça, moi, je suis un peu déprimée.
Oh, le reste de ma fin de semaine a été chouette, ce n'est pas ça. Elle a été courte et agréable. Seulement, ce climat, il m'affecte et je n'ai jamais su comment gérer ces choses : comment agir, quand les gens sont autant à fleur de peau, quand ils sont si froids.
La soirée se termine, il ne reste plus que nous deux : nos coéquipiers sont partis depuis peu et les jeunes sont déjà tous couchés.
Je m'enfouis dans ses bras quelques instants...
Déjà, je sens que ça va mieux.
J'ai un mal de gorge terrible, tout le monde est à cran, la tension est palpable à l'oeil nu. On ne se crie pas dessus, mais c'est tout juste. Il faut dire qu'on est tous fatigués, pour diverses raisons. Quand même : une ambiance glaciale, un peu comme dehors, présentement.
Et à travers tout ça, moi, je suis un peu déprimée.
Oh, le reste de ma fin de semaine a été chouette, ce n'est pas ça. Elle a été courte et agréable. Seulement, ce climat, il m'affecte et je n'ai jamais su comment gérer ces choses : comment agir, quand les gens sont autant à fleur de peau, quand ils sont si froids.
La soirée se termine, il ne reste plus que nous deux : nos coéquipiers sont partis depuis peu et les jeunes sont déjà tous couchés.
Je m'enfouis dans ses bras quelques instants...
Déjà, je sens que ça va mieux.
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