Je déménage.
Je vais continuer à poster de façon très périodique, j'en ai bien peur. M'enfin. Je retourne effervescencer, parce que... je ne sais pas. Patati Patata, ce n'est pas moi, ça banalise le tout; même si c'est ce que je fais la plupart du temps.
Alors voilà mon Effervescence qui est de retour.
vendredi 23 octobre 2009
samedi 26 septembre 2009
Drame & université
C'est con de dire ça, mais on dirait que je suis due pour un peu de drame, moi là.
La seule petite tache noire au tableau, à date, c'est l'université.
Parce que comme de fait, alors que dans quelques mois, je vais devoir choisir ce que je veux faire de ma vie, je ne sais plus si c'est fait pour moi, le droit.
J'aimerais ça enseigner.
Mais je ne me sentirais pas assez "challengée"
J'aimerais ça aller en psychoéducation.
Mais il y a pas vraiment de possibilité d'avancement, je vais finir par trouver ça routinier et répétitif.
J'aimerais ça prendre un an pis travailler à l'étranger, baon. En Irlande, tiens. Perfectionner mon anglais et être certaine d'être prête pour McGill, qui va (parce que je le veux) venir ensuite.
Mais Tit-Loup est ici et un an, c'est trop long.
Pis Tit-Loup, s'il existe bel et bien quelqu'un avec qui je puisse passer ma vie, ben c'est lui. Et pour vrai, si ça ne marche pas avec lui, je pense que ça ne peut pas marcher avec qui que ce soit.
Ensemble, on ressemble un peu à mes parents, des fois. Dans nos façons de vivre ensemble, de se niaiser, de répartir les choses et dans plein d'autres trucs. Pis mes parents, ce soir, on a fêté leur 25e anniversaire de mariage.
Baon.
Anyway.
Je voulais juste écrire une phrase, ce soir, pas tout un texte.
Je suis due pour un peu de drame, moi là.
Voilà.
La seule petite tache noire au tableau, à date, c'est l'université.
Parce que comme de fait, alors que dans quelques mois, je vais devoir choisir ce que je veux faire de ma vie, je ne sais plus si c'est fait pour moi, le droit.
J'aimerais ça enseigner.
Mais je ne me sentirais pas assez "challengée"
J'aimerais ça aller en psychoéducation.
Mais il y a pas vraiment de possibilité d'avancement, je vais finir par trouver ça routinier et répétitif.
J'aimerais ça prendre un an pis travailler à l'étranger, baon. En Irlande, tiens. Perfectionner mon anglais et être certaine d'être prête pour McGill, qui va (parce que je le veux) venir ensuite.
Mais Tit-Loup est ici et un an, c'est trop long.
Pis Tit-Loup, s'il existe bel et bien quelqu'un avec qui je puisse passer ma vie, ben c'est lui. Et pour vrai, si ça ne marche pas avec lui, je pense que ça ne peut pas marcher avec qui que ce soit.
Ensemble, on ressemble un peu à mes parents, des fois. Dans nos façons de vivre ensemble, de se niaiser, de répartir les choses et dans plein d'autres trucs. Pis mes parents, ce soir, on a fêté leur 25e anniversaire de mariage.
Baon.
Anyway.
Je voulais juste écrire une phrase, ce soir, pas tout un texte.
Je suis due pour un peu de drame, moi là.
Voilà.
mardi 1 septembre 2009
Ouin.
On dirait que je n'aime plus vraiment ça, entretenir un blogue. Je sais bien que c'est un peu plate, mais en ce moment... je ne sais pas, je n'ai plus vraiment le besoin, ni l'envie d'étaler ma vie comme avant.
Tout va bien. Un genre de bonheur stable et permanent, une plénitude, un état zen.
Je suis devenue responsable d'équipe à mon travail (sans mérite, ils ont presque pas eu le choix de me monter, bleh) et je vais peut-être travailler avec une fillette autiste (si je me décide à rappeler la famille... ils m'ont appelée dimanche et je n'ai pas encore donné de nouvelles, parce que je suis paresseuse et lunatique).
Sinon, euh, j'ai travaillé ce matin avec beaucoup de stress et je suis tout à fait épuisée.
Ça fait que bonne nuit.
Et à je-sais-pas-quand, mais ne vous attendez à rien... j'ai d'autres Avatar à écouter, moi.
Tout va bien. Un genre de bonheur stable et permanent, une plénitude, un état zen.
Je suis devenue responsable d'équipe à mon travail (sans mérite, ils ont presque pas eu le choix de me monter, bleh) et je vais peut-être travailler avec une fillette autiste (si je me décide à rappeler la famille... ils m'ont appelée dimanche et je n'ai pas encore donné de nouvelles, parce que je suis paresseuse et lunatique).
Sinon, euh, j'ai travaillé ce matin avec beaucoup de stress et je suis tout à fait épuisée.
Ça fait que bonne nuit.
Et à je-sais-pas-quand, mais ne vous attendez à rien... j'ai d'autres Avatar à écouter, moi.
vendredi 21 août 2009
Ouin, ben.
J'attends pour changer mon horaire de cégep sur Omnivox, ça fait déjà au moins 2 heures que je suis là et je suis 81e dans la file d'attente. J'ai essayé toute la journée et la file d'attente était PLEINE. Bref, je ne peux plus vraiment retarder.
Sauf que,
J'aimerais mille fois mieux être collée sur le Bébé Loup qui dort dans mon lit (bah ouais, mon lit, mais c'est qu'on est chez mes parents).
Pis vous savez, 4 jours, quand on est habitués de vivre ensemble et de se voir chaque jour, c'est long.
Pardon, je suis un peu désorganisée, ce soir, mon post de doit pas du tout avoir de sens.
Bref, j'ai hâte d'aller me coucher.
C'est tout ce que j'avais à vous dire.
Sauf que,
J'aimerais mille fois mieux être collée sur le Bébé Loup qui dort dans mon lit (bah ouais, mon lit, mais c'est qu'on est chez mes parents).
Pis vous savez, 4 jours, quand on est habitués de vivre ensemble et de se voir chaque jour, c'est long.
Pardon, je suis un peu désorganisée, ce soir, mon post de doit pas du tout avoir de sens.
Bref, j'ai hâte d'aller me coucher.
C'est tout ce que j'avais à vous dire.
Libellés :
Dans ma p'tite vie,
Mes ébats de fille en couple
dimanche 9 août 2009
Histoire
C'est niaiseux, hein ; mais j'ai lu un récit non terminé que j'avais commencé il y a plusieurs mois et j'ai vraiment eu envie de connaître la suite.
L'affaire, c'est que je ne me souviens plus vraiment comment ça se poursuit.
J'ai seulement de vagues souvenirs de comment ça se termine.
J'ai comme envie de m'y remettre, là, à mon histoire quétaine pour les tites filles de 13-14-15 ans.
L'affaire, c'est que je ne me souviens plus vraiment comment ça se poursuit.
J'ai seulement de vagues souvenirs de comment ça se termine.
J'ai comme envie de m'y remettre, là, à mon histoire quétaine pour les tites filles de 13-14-15 ans.
lundi 3 août 2009
Sauce à spag'
Finalement, je n'ai pas fait mon foutu devoir.
Non, parce que, pour la deuxième fois, je me suis faite avoir (je ne suis pas sûre si «fait» prend un e ici, duh).
La première fois, j'ai suivi toutes les instructions sur le DVD du cours (ah oui, c'est le cours d'Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines). Ça disait de penser à un sujet de recherche qui nous intéressait et blablabla. Finalement, presque rendue au premier devoir, j'ai bloqué sur un détail et il a fallu que je contacte mon tuteur. Qui m'a dit que c'était normal que je ne trouve pas la réponse appropriée, parce que je devais choisir parmi les trois thèmes proposés. Bon. J'étais TRÈS fâchée, mais j'ai recommencé du début, en essayant d'oublier la vingtaine d'heures que j'avais perdue là-dessus.
Et là, là, j'avais vraiment TOUT fait. Il restait simplement à retranscrire dans le devoir. Je cherche pour le cahier de préparation aux devoirs.
J'ai dû passer 15 heures sur la recherche, à trouver des sources, à lire des textes, à recopier des fiches. À créer un plan de problématique qui se tenait, même si ça me tentait pas, même si mon travail à 40hrs semaine avec les enfants handicapés (avec 2 heures de transport/jour) me rendre dedans à plein fouet, même si ça me tente foutument pas et que j'aimerais bien mieux faire l'amour plutôt que de me casser la tête avec cette affaire-là.
Et finalement, il faut que je prenne mes informations dans les trois articles qu'ils me fournissaient. Ce qui est totalement contraire à ce qu'ils me disaient dans le DVD du cours.
Je sais pas pour vous, mais je trouve ça pas mal clair, moi.
Bref, je suis fâchée.
Parce que je vais avoir perdu plus de 40 heures là-dessus.
Gre.
Tout ça pour RIEN PENTOUTE.
Maudite affaire.
Je déteste tellement perdre mon temps...
Ça fait qu'après avoir tappé du pied pas mal fort et exprimé ma frustration par divers mots plutôt vulgaires (et ragé parce qu'on me prenait pour une épaisse en ne me laissant même pas faire de recherche pour mon travail de recherche), je suis allée faire de la sauce à spag'.
Une maudite chance qu'elle était bonne.
Non, parce que, pour la deuxième fois, je me suis faite avoir (je ne suis pas sûre si «fait» prend un e ici, duh).
La première fois, j'ai suivi toutes les instructions sur le DVD du cours (ah oui, c'est le cours d'Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines). Ça disait de penser à un sujet de recherche qui nous intéressait et blablabla. Finalement, presque rendue au premier devoir, j'ai bloqué sur un détail et il a fallu que je contacte mon tuteur. Qui m'a dit que c'était normal que je ne trouve pas la réponse appropriée, parce que je devais choisir parmi les trois thèmes proposés. Bon. J'étais TRÈS fâchée, mais j'ai recommencé du début, en essayant d'oublier la vingtaine d'heures que j'avais perdue là-dessus.
Et là, là, j'avais vraiment TOUT fait. Il restait simplement à retranscrire dans le devoir. Je cherche pour le cahier de préparation aux devoirs.
J'ai dû passer 15 heures sur la recherche, à trouver des sources, à lire des textes, à recopier des fiches. À créer un plan de problématique qui se tenait, même si ça me tentait pas, même si mon travail à 40hrs semaine avec les enfants handicapés (avec 2 heures de transport/jour) me rendre dedans à plein fouet, même si ça me tente foutument pas et que j'aimerais bien mieux faire l'amour plutôt que de me casser la tête avec cette affaire-là.
Et finalement, il faut que je prenne mes informations dans les trois articles qu'ils me fournissaient. Ce qui est totalement contraire à ce qu'ils me disaient dans le DVD du cours.
Je sais pas pour vous, mais je trouve ça pas mal clair, moi.
Bref, je suis fâchée.
Parce que je vais avoir perdu plus de 40 heures là-dessus.
Gre.
Tout ça pour RIEN PENTOUTE.
Maudite affaire.
Je déteste tellement perdre mon temps...
Ça fait qu'après avoir tappé du pied pas mal fort et exprimé ma frustration par divers mots plutôt vulgaires (et ragé parce qu'on me prenait pour une épaisse en ne me laissant même pas faire de recherche pour mon travail de recherche), je suis allée faire de la sauce à spag'.
Une maudite chance qu'elle était bonne.
Je n'écris plus rien. Je suis désolée.
Pis là, j'ai fait promettre au Bébé Loup qu'il me volerait mon câble de courant pour l'ordinateur ET ma batterie et qu'il pourrait même me frapper à mort s'il le désirait... si je n'allais pas faire mon cours à distance dans les trente minutes suivant mon retour à la maison.
Et bref, comme ça doit pas mal faire 29 minutes et 35 secondes, je préfère ne pas prendre de chance.
Je vais faire mon travail.
Gulp.
Je l'entends venir... :/
Pis là, j'ai fait promettre au Bébé Loup qu'il me volerait mon câble de courant pour l'ordinateur ET ma batterie et qu'il pourrait même me frapper à mort s'il le désirait... si je n'allais pas faire mon cours à distance dans les trente minutes suivant mon retour à la maison.
Et bref, comme ça doit pas mal faire 29 minutes et 35 secondes, je préfère ne pas prendre de chance.
Je vais faire mon travail.
Gulp.
Je l'entends venir... :/
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Dans ma p'tite vie,
Mes ébats de fille en couple
dimanche 19 juillet 2009
Sick
Je suis un p'tit peu (et peut-être un peu plus qu'un peu) malade.
... Chéri s'occupe de moi.
Il est tellement adorable.
(Et vive la soupe lipton)
... Chéri s'occupe de moi.
Il est tellement adorable.
(Et vive la soupe lipton)
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Dans ma p'tite vie,
Mes ébats de fille en couple
dimanche 12 juillet 2009
Ultimatum saoule
J'ai même pas vu G. Je lui ai lancé un ultimatum épais, mais j'avais un peu trop bu :
« J'en ai plein mon casque de me faire niaiser. Tu veux pas faire de peine à ta blonde et je comprends, mais vois-tu à quel point tu m'en fais, à moi? Bref, tu as jusqu'à la fin de l'été pour essayer de me voir. Sinon, chow pow, je décrisse. »
Et ce matin, la blonde en question est venue me laisser un message disant qu'elle lui avait dit que c'était correct s'il me voyait, qu'elle lui avait dit qu'il n'y avait pas de problème...
C'est à n'y rien comprendre.
En tout cas, il est tard et je vais me coucher.
« J'en ai plein mon casque de me faire niaiser. Tu veux pas faire de peine à ta blonde et je comprends, mais vois-tu à quel point tu m'en fais, à moi? Bref, tu as jusqu'à la fin de l'été pour essayer de me voir. Sinon, chow pow, je décrisse. »
Et ce matin, la blonde en question est venue me laisser un message disant qu'elle lui avait dit que c'était correct s'il me voyait, qu'elle lui avait dit qu'il n'y avait pas de problème...
C'est à n'y rien comprendre.
En tout cas, il est tard et je vais me coucher.
mercredi 8 juillet 2009
Advienne que pourra
J'ai décidé de forcer G. à me voir, avec ou contre son gré.
Alors je fais tout ce qu'il faut pour aller aux Régates.
Ooooooh, aux Régates. Ça fait un bail. Kaïn et The Lost Fingers vont jouer ce soir-là et je les aime bien, moi, The Lost Fingers. M'enfin, bref, c'est comme remonter dans le temps, mais avec des détails en plus... comme le fait qu'on est passé à travers notre amour au complet et qu'on a plus rien à en retirer, ni l'un, ni l'autre.
Alors bref, si je veux le voir, ce ne sont pas pour des raisons amoureuses (je suis quand même marié!). C'est parce que... bon, parce qu'il refuse de me voir, qu'il a peur, mais que je vais le mettre sur les fesses et le brasser un peu. Parce qu'il a pas le droit de rejeter ceux qui sont importants pour lui pour une pute malsaine. Bon. Je le répète, je l'aime pas, sa blonde, bleh.
Ce n'est pas très clair, je sais. Ça ne l'est pas vraiment pour moi non plus.
M'enfin, advienne que pourra, comme il dirait.
Alors je fais tout ce qu'il faut pour aller aux Régates.
Ooooooh, aux Régates. Ça fait un bail. Kaïn et The Lost Fingers vont jouer ce soir-là et je les aime bien, moi, The Lost Fingers. M'enfin, bref, c'est comme remonter dans le temps, mais avec des détails en plus... comme le fait qu'on est passé à travers notre amour au complet et qu'on a plus rien à en retirer, ni l'un, ni l'autre.
Alors bref, si je veux le voir, ce ne sont pas pour des raisons amoureuses (je suis quand même marié!). C'est parce que... bon, parce qu'il refuse de me voir, qu'il a peur, mais que je vais le mettre sur les fesses et le brasser un peu. Parce qu'il a pas le droit de rejeter ceux qui sont importants pour lui pour une pute malsaine. Bon. Je le répète, je l'aime pas, sa blonde, bleh.
Ce n'est pas très clair, je sais. Ça ne l'est pas vraiment pour moi non plus.
M'enfin, advienne que pourra, comme il dirait.
lundi 6 juillet 2009
Cheville (presque) foulée
Des fois, je suis niaiseuse.
Ça fait des mois que, plusieurs fois par semaine, je fais semblant de me laisser tomber par terre pour que le Copain me rattrape à la dernière minute. Ça l'irrite un peu, mais surtout, il me rattrape et ça me fait du bien.
Pis là, aujourd'hui, ben, j'ai eu la bonne idée de tomber raide comme une planche sur le sol dur, alors qu'il tapait quelque chose sur son écran d'ordinateur.
Il est arrivé ce qui devait arriver : il m'a vue trop tard, je n'ai pas eu le temps de me rattraper et je suis tombée tout croche par terre, en me faisant suffisamment mal pour avoir les larmes aux yeux (et sur les joues, je dois l'avouer, bleh).
On avait prévu s'entraîner à ce moment-là. Non seulement je n'ai pas toffé plus de 10 minutes (quand même, j'avais fait une petite demi-heure avant...), mais en plus, ça m'a complètement déprimée. Pis je me suis rendue compte que j'avais très probablement accroché une signification plutôt symbolique au fait de me faire rattraper à tous les coups.
C'est pour ça que je suis niaiseuse. Pas parce que je me suis laissée tomber, tsk.
(Pis en plus, mes jambes font encore mal et ça fait environ 4hrs que c'est arrivé... gneuh)
Ça fait des mois que, plusieurs fois par semaine, je fais semblant de me laisser tomber par terre pour que le Copain me rattrape à la dernière minute. Ça l'irrite un peu, mais surtout, il me rattrape et ça me fait du bien.
Pis là, aujourd'hui, ben, j'ai eu la bonne idée de tomber raide comme une planche sur le sol dur, alors qu'il tapait quelque chose sur son écran d'ordinateur.
Il est arrivé ce qui devait arriver : il m'a vue trop tard, je n'ai pas eu le temps de me rattraper et je suis tombée tout croche par terre, en me faisant suffisamment mal pour avoir les larmes aux yeux (et sur les joues, je dois l'avouer, bleh).
On avait prévu s'entraîner à ce moment-là. Non seulement je n'ai pas toffé plus de 10 minutes (quand même, j'avais fait une petite demi-heure avant...), mais en plus, ça m'a complètement déprimée. Pis je me suis rendue compte que j'avais très probablement accroché une signification plutôt symbolique au fait de me faire rattraper à tous les coups.
C'est pour ça que je suis niaiseuse. Pas parce que je me suis laissée tomber, tsk.
(Pis en plus, mes jambes font encore mal et ça fait environ 4hrs que c'est arrivé... gneuh)
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Dans ma tête,
Mes ébats de fille en couple
mardi 30 juin 2009
G. et son amour
Moi : Alors, quand est-ce qu'on se voit, minou ?
G. : Humm je sais pas, il faudrait que je demande à ma blonde...
Moi : Euhh... quoi ?
G. : Ben oui... ça la fait chier que je revois mon «ex» et je veux vraiment pas lui faire de peine...
Moi : Primo, je te sauterai pas dessus, je suis en couple, bordel. Secundo, c'est fini depuis longtemps, notre «histoire». Tu me laisses lui parler 2 minutes pour que je mette quelques trucs au clairs ?
G. : Bah ouais. De toute façon si on se voit, elle va être là.
Moi : ...
G. : Ben oui, ça se fait pas, sinon.
Moi : Tu es en train de dire que tu es à Montréal pour tout l'été et que je ne pourrai pas te voir seule à seul ?
G. : ... C'est juste pas le bon contexte.
Moi : Ok, laisse faire, je commence à comprendre qu'on se verra pas du tout.
Note : Le texte a été abrégé afin de ne retenir que les passages importants.
Je suis la seule à trouver ça tout à fait dégueulasse ?
Ce qui est dégueulasse, c'est d'être dans un couple aussi fermé, possessif et jaloux. Quand je lui ai fait remarquer que ce n'était pas normal, il a dit qu'il était «bien» là-dedans. Humf.
Ce qui est tout aussi dégueulasse, c'est d'être incapable de mettre ses culottes et de voir ceux qui sont importants pour nous, par peur de déplaire à sa blonde.
Finalement, ce qui est dégueulasse, c'est que j'ai envie de le voir, moi, Ghys. Bon.
Et contrairement à la blonde de ce dernier, le Copain, il est tout à fait d'accord avec ça et il n'en a rien à cirer, que je vois les gens dont j'ai envie.
Franchement, non seulement ça me fâche, mais ça me fait de la peine, aussi.
G. : Humm je sais pas, il faudrait que je demande à ma blonde...
Moi : Euhh... quoi ?
G. : Ben oui... ça la fait chier que je revois mon «ex» et je veux vraiment pas lui faire de peine...
Moi : Primo, je te sauterai pas dessus, je suis en couple, bordel. Secundo, c'est fini depuis longtemps, notre «histoire». Tu me laisses lui parler 2 minutes pour que je mette quelques trucs au clairs ?
G. : Bah ouais. De toute façon si on se voit, elle va être là.
Moi : ...
G. : Ben oui, ça se fait pas, sinon.
Moi : Tu es en train de dire que tu es à Montréal pour tout l'été et que je ne pourrai pas te voir seule à seul ?
G. : ... C'est juste pas le bon contexte.
Moi : Ok, laisse faire, je commence à comprendre qu'on se verra pas du tout.
Note : Le texte a été abrégé afin de ne retenir que les passages importants.
Je suis la seule à trouver ça tout à fait dégueulasse ?
Ce qui est dégueulasse, c'est d'être dans un couple aussi fermé, possessif et jaloux. Quand je lui ai fait remarquer que ce n'était pas normal, il a dit qu'il était «bien» là-dedans. Humf.
Ce qui est tout aussi dégueulasse, c'est d'être incapable de mettre ses culottes et de voir ceux qui sont importants pour nous, par peur de déplaire à sa blonde.
Finalement, ce qui est dégueulasse, c'est que j'ai envie de le voir, moi, Ghys. Bon.
Et contrairement à la blonde de ce dernier, le Copain, il est tout à fait d'accord avec ça et il n'en a rien à cirer, que je vois les gens dont j'ai envie.
Franchement, non seulement ça me fâche, mais ça me fait de la peine, aussi.
samedi 13 juin 2009
Absences prolongées
Avant, j'étalais tous mes drames sur un blog.
Ensuite, je me suis mise à y écrire des banalités.
Maintenant, j'ai envie de vous dire des choses intéressantes, mais je ne trouve rien qui vaille la peine d'être écrit.
Voilà pourquoi mes posts sont de plus en plus espacés.
En plus, même si je voulais revenir à la première phase, j'en ai pas, de gros drames...
Vous pouvez toujours (re)visiter ceux du passé, ceux d'il y a 3 ou 4 ans...
MON SECONDAIRE 2 !
Ensuite, je me suis mise à y écrire des banalités.
Maintenant, j'ai envie de vous dire des choses intéressantes, mais je ne trouve rien qui vaille la peine d'être écrit.
Voilà pourquoi mes posts sont de plus en plus espacés.
En plus, même si je voulais revenir à la première phase, j'en ai pas, de gros drames...
Vous pouvez toujours (re)visiter ceux du passé, ceux d'il y a 3 ou 4 ans...
MON SECONDAIRE 2 !
lundi 1 juin 2009
De retour de NYC
New York, c'est...
1. Haut (tellement haut que les buildings nous font de l'ombre toute la journée).
2. Populeux (Times Square, c'est monstrueux, c'est chaotique, c'est très... humain).
3. Puant (cigarettes, égouts, voitures, surpopulation... un beau mélange).
4. Extrêmement excitant.
On a fait les mêmes choses que tous les touristes lorsqu'ils vont visiter la capitale américaine (statue de la liberté, Chinatown, Petite Italie, Times Square, magasinage, etc.) et ça m'a donné envie de faire ma maîtrise aux États-Unis. Ben oui. D'aller dans une université prestigieuse. De me défoncer pendant 2 ans sans arrêt pour décrocher un diplôme qui va m'amener où je veux.
Je suis comme ça, moi. Je rêve, j'ambitionne, je vise haut, peut-être un peu trop.
Mais si ma tante est au doctorat en arts à Columbia, pourquoi est-ce que je ne serais pas à la maîtrise en droit à Harvard, hein?
(Réponse : Parce que je n'ai pas 120 000$ à portée de la main)
1. Haut (tellement haut que les buildings nous font de l'ombre toute la journée).
2. Populeux (Times Square, c'est monstrueux, c'est chaotique, c'est très... humain).
3. Puant (cigarettes, égouts, voitures, surpopulation... un beau mélange).
4. Extrêmement excitant.
On a fait les mêmes choses que tous les touristes lorsqu'ils vont visiter la capitale américaine (statue de la liberté, Chinatown, Petite Italie, Times Square, magasinage, etc.) et ça m'a donné envie de faire ma maîtrise aux États-Unis. Ben oui. D'aller dans une université prestigieuse. De me défoncer pendant 2 ans sans arrêt pour décrocher un diplôme qui va m'amener où je veux.
Je suis comme ça, moi. Je rêve, j'ambitionne, je vise haut, peut-être un peu trop.
Mais si ma tante est au doctorat en arts à Columbia, pourquoi est-ce que je ne serais pas à la maîtrise en droit à Harvard, hein?
(Réponse : Parce que je n'ai pas 120 000$ à portée de la main)
mardi 26 mai 2009
Crise post-session
Par les temps qui courent, j'angoisse ; je pense un peu au passé, mais surtout au futur, je dirais.
J'angoisse à me demander si oui ou non, je serais une bonne avocate. Si oui ou non, j'aimerais être une avocate. Si oui ou non, je voudrais travailler dans le domaine de l'international. Si oui ou non, c'est possible d'avoir une famille, le cas échéant. Si oui ou non, je fais les bonnes actions pour atteindre les buts que je me suis fixés.
Et ça continue.
Je ne dors pas très bien. Mon environnement immédiat est en bordel et j'y suis très sensible, mais ma tête aussi, elle est remplie de bibittes.
Ça ne va pas très bien à mon travail. J'adore toujours autant travailler avec les enfants handicapés, je les apprécie énormément et j'aime prendre soin d'eux, mais... plus on m'en parle, plus je suis fâchée contre la direction.
Je vous explique rapidement : je suis payée 56¢ de l'heure moins que ceux qui ont été engagés quelques mois avant moi. Échelle salariale, d'accord. L'affaire, c'est que ce n'est pas une véritable échelle ; il y a deux bases salariales et les nouveaux sont payés le même salaire que moi. En plus, c'est moins que ce qu'on m'avait promis à l'entrevue, beaucoup moins. Le Copain est allé en parler à la directrice (qu'il connaît franchement mieux que moi), qui a sorti des niaiseries selon lesquelles les budgets étaient déjà faits, que c'était l'autre coordonnatrice qui m'avait promis mon salaire et qu'elle était partie et BLABLABLA.
Bref, depuis ce temps, chaque fois que je vais travailler, il y a un petit fond de frustration qui flotte dans ma tête. J'ai appliqué pour un autre emploi (beaucoup plus payant, 18$ de l'heure, mautadit), mais je n'ai pas vraiment envie de partir, parce que je me suis énormément attachée aux jeunes ; et parce que j'espère être montée responsable d'équipe, ce qui remonterait substantiellement mon salaire. Oh, et améliorerait mon CV du même coup, bien sûr.
Je suis un peu fâchée et pourtant, il y a tant de belles choses qui m'arrivent. J'ai l'impression que je n'en profite pas assez.
M'enfin, bref, c'est ma petite crise post-session, c'est normal. Chaque année, lorsque les vacances arrivent, j'en fait une.... mais ne la laissons pas s'étendre.
Lorsque mes règles seront passées, je vais être moins fâchée.
J'angoisse à me demander si oui ou non, je serais une bonne avocate. Si oui ou non, j'aimerais être une avocate. Si oui ou non, je voudrais travailler dans le domaine de l'international. Si oui ou non, c'est possible d'avoir une famille, le cas échéant. Si oui ou non, je fais les bonnes actions pour atteindre les buts que je me suis fixés.
Et ça continue.
Je ne dors pas très bien. Mon environnement immédiat est en bordel et j'y suis très sensible, mais ma tête aussi, elle est remplie de bibittes.
Ça ne va pas très bien à mon travail. J'adore toujours autant travailler avec les enfants handicapés, je les apprécie énormément et j'aime prendre soin d'eux, mais... plus on m'en parle, plus je suis fâchée contre la direction.
Je vous explique rapidement : je suis payée 56¢ de l'heure moins que ceux qui ont été engagés quelques mois avant moi. Échelle salariale, d'accord. L'affaire, c'est que ce n'est pas une véritable échelle ; il y a deux bases salariales et les nouveaux sont payés le même salaire que moi. En plus, c'est moins que ce qu'on m'avait promis à l'entrevue, beaucoup moins. Le Copain est allé en parler à la directrice (qu'il connaît franchement mieux que moi), qui a sorti des niaiseries selon lesquelles les budgets étaient déjà faits, que c'était l'autre coordonnatrice qui m'avait promis mon salaire et qu'elle était partie et BLABLABLA.
Bref, depuis ce temps, chaque fois que je vais travailler, il y a un petit fond de frustration qui flotte dans ma tête. J'ai appliqué pour un autre emploi (beaucoup plus payant, 18$ de l'heure, mautadit), mais je n'ai pas vraiment envie de partir, parce que je me suis énormément attachée aux jeunes ; et parce que j'espère être montée responsable d'équipe, ce qui remonterait substantiellement mon salaire. Oh, et améliorerait mon CV du même coup, bien sûr.
Je suis un peu fâchée et pourtant, il y a tant de belles choses qui m'arrivent. J'ai l'impression que je n'en profite pas assez.
M'enfin, bref, c'est ma petite crise post-session, c'est normal. Chaque année, lorsque les vacances arrivent, j'en fait une.... mais ne la laissons pas s'étendre.
Lorsque mes règles seront passées, je vais être moins fâchée.
lundi 25 mai 2009
Un jour
Un jour, un jour, je vais avoir fait totalement la paix avec mon passé et ceux qui s'y trouvent.
Pour l'instant, il me fait encore un peu grincer des dents, ce passé.
Mais de moins en moins.
Un jour, un jour.
Un jour pas trop lointain, j'espère.
Pour l'instant, il me fait encore un peu grincer des dents, ce passé.
Mais de moins en moins.
Un jour, un jour.
Un jour pas trop lointain, j'espère.
vendredi 15 mai 2009
C'EST LE TEMPS DES VACANCES !
Dans 25 minutes, je remets mon dernier projet.
Dans 155 minutes, je termine mon dernier examen
Aaaaaah !
L'été s'en vient, j'ai un mois de travail à 26 heures/semaine, ce qui correspond à ce que j'ai fait pendant ma session. Seulement, seulement... pas de cégep ! Ce sera réellement comme des vacances, j'en viens à me demander comment je vais occuper mon temps !
Bien sûr, cet été, je fais mon cours de méthodologie des sciences humaines, question d'alléger un peu ma session prochaine, avec mon double cours de français (littérature québécoise et tutorat aux pairs). Sauf que, quand même, ça peut être intéressant, je crois. Surtout que je vais pouvoir apprendre par moi-même et donc, aller beaucoup plus vite que dans un cours normal...
Bref, je déménage samedi prochain (le 23), j'ai hâte, l'été s'annonce merveilleux, c'est le beer bash du cégep ce soir et aucun drame ne se présente (étrange?) avec la fin de l'année !
Daï daï daï !
Dans 155 minutes, je termine mon dernier examen
Aaaaaah !
L'été s'en vient, j'ai un mois de travail à 26 heures/semaine, ce qui correspond à ce que j'ai fait pendant ma session. Seulement, seulement... pas de cégep ! Ce sera réellement comme des vacances, j'en viens à me demander comment je vais occuper mon temps !
Bien sûr, cet été, je fais mon cours de méthodologie des sciences humaines, question d'alléger un peu ma session prochaine, avec mon double cours de français (littérature québécoise et tutorat aux pairs). Sauf que, quand même, ça peut être intéressant, je crois. Surtout que je vais pouvoir apprendre par moi-même et donc, aller beaucoup plus vite que dans un cours normal...
Bref, je déménage samedi prochain (le 23), j'ai hâte, l'été s'annonce merveilleux, c'est le beer bash du cégep ce soir et aucun drame ne se présente (étrange?) avec la fin de l'année !
Daï daï daï !
dimanche 10 mai 2009
Hier encore
Ce soir, dans le métro, crise existentielle sur la vieillesse. Ben oui ; j'ai à peine 18 ans et j'ai déjà peur de vieillir.
J'écoutais Charles Aznavour chanter Hier encore avec Jacques Brel, je pensais à mes souvenirs du secondaire et là, là... je me suis rendue compte que je vieillis.
Ignorant le passé
Conjuguant le futur
Voilà que mon enfance se termine réellement. Je suis une adulte, maintenant. J'emménage avec mon copain, je lave mon linge, je rentre à l'heure que je veux et j'apprends à être responsable. Depuis un an, le secondaire est terminé ; d'ici le même nombre de temps, le cégep le sera aussi.
Ça va vite, vite, trop vite. Ma 2e session se termine dans 5 jours, alors que j'ai l'impression d'être à peine arrivée à Montréal. Par contre, certaines choses paraissent si loin. Pourquoi est-ce que ma ville natale me semble étrangère?
Bref, je me rends compte que les temps changent, la vie aussi et, au fond, moi avec.
Le futur approche, bientôt je serai une adulte, une vraie. L'université s'en vient, mon métier aussi et tout ce que ça implique. Ça me fait un peu peur.
Pourtant, je sais que j'ai tout ce qu'il faut pour passer à travers la vie, qu'il n'y a aucune raison pour que je n'atteigne pas mes buts... et que je sais qui je suis et qui je veux être.
Sartre dit que ce sont nos actes qui définissent qui nous sommes. J'ai bien envie de le croire et d'agir comme la personne que je veux être. C'est peut-être futile, mais il me donne espoir, Sartre.
J'écoutais Charles Aznavour chanter Hier encore avec Jacques Brel, je pensais à mes souvenirs du secondaire et là, là... je me suis rendue compte que je vieillis.
Ignorant le passé
Conjuguant le futur
Voilà que mon enfance se termine réellement. Je suis une adulte, maintenant. J'emménage avec mon copain, je lave mon linge, je rentre à l'heure que je veux et j'apprends à être responsable. Depuis un an, le secondaire est terminé ; d'ici le même nombre de temps, le cégep le sera aussi.
Ça va vite, vite, trop vite. Ma 2e session se termine dans 5 jours, alors que j'ai l'impression d'être à peine arrivée à Montréal. Par contre, certaines choses paraissent si loin. Pourquoi est-ce que ma ville natale me semble étrangère?
Bref, je me rends compte que les temps changent, la vie aussi et, au fond, moi avec.
Le futur approche, bientôt je serai une adulte, une vraie. L'université s'en vient, mon métier aussi et tout ce que ça implique. Ça me fait un peu peur.
Pourtant, je sais que j'ai tout ce qu'il faut pour passer à travers la vie, qu'il n'y a aucune raison pour que je n'atteigne pas mes buts... et que je sais qui je suis et qui je veux être.
Sartre dit que ce sont nos actes qui définissent qui nous sommes. J'ai bien envie de le croire et d'agir comme la personne que je veux être. C'est peut-être futile, mais il me donne espoir, Sartre.
mardi 5 mai 2009
Les 1001 petits plaisirs de la vie (11 à 20)
Version fin de session/début d'été!
11. Remettre un gros travail de session une semaine à l'avance (ouf!).
12. Marcher pieds nus dans l'herbe, hihihi.
13. Jouer à un jeu-vidéo jusqu'à... tard, avec son copain.
14. Rayer un truc de plus sur sa liste interminable de choses à faire.
15. Compter les jours qui s'écoulent au compte-gouttes avant le début des vacances... plus que 10!
16. Déménager!
17. Se lever avec le soleil (ç'a l'air quétaine comme ça, mais en fait, c'est simplement une question de cycle biologique, haha.)
18. Se demander quoi préparer pour le Copain comme souper.
19. Ressortir les vieux classiques musicaux de l'été (SEX ON THE BEACH COME ON MOVE YOUR BODY!)
20. Admirer (et consommer!) les fruits et légumes frais du Québec qui commencent à apparaître dans les rayons de l'épicerie.
11. Remettre un gros travail de session une semaine à l'avance (ouf!).
12. Marcher pieds nus dans l'herbe, hihihi.
13. Jouer à un jeu-vidéo jusqu'à... tard, avec son copain.
14. Rayer un truc de plus sur sa liste interminable de choses à faire.
15. Compter les jours qui s'écoulent au compte-gouttes avant le début des vacances... plus que 10!
16. Déménager!
17. Se lever avec le soleil (ç'a l'air quétaine comme ça, mais en fait, c'est simplement une question de cycle biologique, haha.)
18. Se demander quoi préparer pour le Copain comme souper.
19. Ressortir les vieux classiques musicaux de l'été (SEX ON THE BEACH COME ON MOVE YOUR BODY!)
20. Admirer (et consommer!) les fruits et légumes frais du Québec qui commencent à apparaître dans les rayons de l'épicerie.
dimanche 3 mai 2009
Retour sur mes prévisions 2009
2. Je vais faire une genre de crise de nerfs parce que je vais manquer de temps.
5. Je vais avoir créé au moins un texte plus long que je vais aimer.
6. La crise financière va mieux aller (on espère)
7. Ma grand-mère maternelle va mourir (on espère pas)
Celles qui sont barrées sont réalisées ou vont l'être dans un avenir proche et certain. Pas pire, pas pire pentoute.
samedi 2 mai 2009
Fin de session
Le Bébé Loup est déménagé hier et je suis chez lui (chez nous!), en train de faire mes devoirs en attendant qu'il ait fini de travailler.
J'ai fait du lavage, j'ai nettoyé les armoires, jeté les trucs de l'ancienne locataire, je suis allée dans 109321093 commerces jusqu'à-ce que j'aie assez de 1$ et de 25¢ pour laver les draps et le linge sales du Copain...
Ahhhh, aaaaah, ahhhhhh!
Malgré la fatigue, malgré la fin de session, malgré le peu de sommeil que j'ai réussi à obtenir cette nuit... Bonyeu que je suis heureuse ! J'ai si hâte, si, si hâte d'être réellement installée ici, moi aussi. Dans notre nouveau chez-nous.
Et c'est hier, quand j'ai expliqué à F. pourquoi, selon moi, on est le couple parfait, que je me suis rendue compte d'à quel point je suis comblée. Vraiment, tout à fait, entièrement comblée.
J'ai fait du lavage, j'ai nettoyé les armoires, jeté les trucs de l'ancienne locataire, je suis allée dans 109321093 commerces jusqu'à-ce que j'aie assez de 1$ et de 25¢ pour laver les draps et le linge sales du Copain...
Ahhhh, aaaaah, ahhhhhh!
Malgré la fatigue, malgré la fin de session, malgré le peu de sommeil que j'ai réussi à obtenir cette nuit... Bonyeu que je suis heureuse ! J'ai si hâte, si, si hâte d'être réellement installée ici, moi aussi. Dans notre nouveau chez-nous.
Et c'est hier, quand j'ai expliqué à F. pourquoi, selon moi, on est le couple parfait, que je me suis rendue compte d'à quel point je suis comblée. Vraiment, tout à fait, entièrement comblée.
lundi 20 avril 2009
20 jours
20 jours.
20 toutes petites journées d'écoles.
14 périodes de cours consacrées à des examens.
Courage!
C'est presque fini.
Je rêve de chaleur, de temps libre et de grandes promenades au centre-ville.
J'ai même envie d'aller MAGASINER du linge d'été, ehlàlà (comme si j'étais une grande magasineuse...) !
Cette session-ci est vraiment lourde, scolairement parlant. Ou alors, c'est moi qui suis habituée à l'oisiveté...
20 toutes petites journées d'écoles.
14 périodes de cours consacrées à des examens.
Courage!
C'est presque fini.
Je rêve de chaleur, de temps libre et de grandes promenades au centre-ville.
J'ai même envie d'aller MAGASINER du linge d'été, ehlàlà (comme si j'étais une grande magasineuse...) !
Cette session-ci est vraiment lourde, scolairement parlant. Ou alors, c'est moi qui suis habituée à l'oisiveté...
mercredi 15 avril 2009
Traîtresse
Je vous ai trahis.
Vous vous nourrissiez de mes exploits quotidiens et aujourd'hui, je vous abandonne à votre petite vie sans intérêt.
Je sais, je sais, c'est dur.
Mais je vais vous dire un secret.
Ne le dites à personne, sinon, ça va gâcher ma réputation innée d'intellectuelle.
J'AI BESOIN D'ÉTUDIER POUR PASSER MES COURS.
Voilà, voilà, c'est dit. Ouf, quel soulagement ! Je me sens mieux. Merci.
Bref, cette session-ci est beaucoup plus difficile et chargée que la dernière, alors j'organise méticuleusement mon horaire pour arriver à tout faire bien et surtout, à temps. Résultat ? Je n'ai vraiment plus autant d'heures de temps libre à consacrer à ce blog (ni à lire, ni à dessiner, ni à écouter de la musique, ni à un paquet d'autres trucs auxquels je m'adonnais avant).
À part ça, comme vous le savez déjà, je déménage le 23 mai avec le Vieux Croûton (alias le Copain) et je suis relativement zen, étonnamment.
À part ça, j'ai hâte en maudit que l'été arrive, mais il ne me reste qu'un mois de cégep, exactement !
À part ça, il fait un temps superbe dehors et je vais me promener sur le Mont Royal avec la Vieille Chose d'ici vraiment pas longtemps.
À part ça, j'ai une carte de crédit et je ne comprends pas vraiment comment ça marche.
À part ça, le thé chaï, c'est bon en maudit.
À part ça.... ben, j'ai pas mal fait le tour.
Vous vous nourrissiez de mes exploits quotidiens et aujourd'hui, je vous abandonne à votre petite vie sans intérêt.
Je sais, je sais, c'est dur.
Mais je vais vous dire un secret.
Ne le dites à personne, sinon, ça va gâcher ma réputation innée d'intellectuelle.
J'AI BESOIN D'ÉTUDIER POUR PASSER MES COURS.
Voilà, voilà, c'est dit. Ouf, quel soulagement ! Je me sens mieux. Merci.
Bref, cette session-ci est beaucoup plus difficile et chargée que la dernière, alors j'organise méticuleusement mon horaire pour arriver à tout faire bien et surtout, à temps. Résultat ? Je n'ai vraiment plus autant d'heures de temps libre à consacrer à ce blog (ni à lire, ni à dessiner, ni à écouter de la musique, ni à un paquet d'autres trucs auxquels je m'adonnais avant).
À part ça, comme vous le savez déjà, je déménage le 23 mai avec le Vieux Croûton (alias le Copain) et je suis relativement zen, étonnamment.
À part ça, j'ai hâte en maudit que l'été arrive, mais il ne me reste qu'un mois de cégep, exactement !
À part ça, il fait un temps superbe dehors et je vais me promener sur le Mont Royal avec la Vieille Chose d'ici vraiment pas longtemps.
À part ça, j'ai une carte de crédit et je ne comprends pas vraiment comment ça marche.
À part ça, le thé chaï, c'est bon en maudit.
À part ça.... ben, j'ai pas mal fait le tour.
lundi 30 mars 2009
Un printemps bonheur
Un petit post pour venir écrire les derniers développements, dans ce magnifique printemps qui s'annonce sur le thème du bonheur!
Alors voilà, je vous ai négligés, mais Le Copain et moi, on part en appartement ensemble dès le mois de mai. Ben oui! Surprise! Ce fut une décision rapide, mais vous savez, parfois, on n'a pas réellement besoin de plus de jours de réflexion, pour savoir ce qu'on veut. Donc, c'est cela, après avoir visité des tas de 4½ (ben... 3, en fait), on s'est trouvé un petit nid douillet tout près de l'Université de Montréal et à quelques stations de métro à peine de mon cégep. Je pousse encore de petits d'angoisse, mais franchement, j'ai affreusement hâte d'emménager. Ça ne peut que bien aller!
Dans une autre sphère de ma si palpitante vie... j'ai été accepté pour le programme SENS! Le programme SENS (Sensiblisation aux Échanges Nord-Sud), c'est une option spéciale à mon cégep, qui permet aux étudiants en Sciences Humaines de modifier un peu leur horaire pour avoir des cours axés sur le Sud (Amérique Latine, Afrique) tout ça dans l'optique d'aller passer un mois dans un pays de l'Hémisphère Sud à la fin du programme. Depuis quelques années, ils vont en Équateur, alors ce sera probablement notre cas aussi. Ça faisait quelques années que j'avais envie de visiter ce pays, c'est l'occasion rêvée!
DE PLUS! Je voulais peut-être prendre une année sabatique pour voyager... mais ce projet-là me permet de rester autant de temps que je veux là-bas. Donc, je penserais bien rester pour le reste de l'été (Donc, de fin mai à fin août) et commencer l'université en automne 2010, comme mon cheminement «normal» ferait en sorte. Donc, je ne «perds» pas d'année et tout est merveilleux :) .
Sinon, il fait beau, il fait chaud (sauf aujourd'hui, mais demain, le beau temps reviendra!), je suis très occupée et j'ai hâte en mautadit que la session finisse...
Mais ça s'en vient, plus que 6 semaines de cours!
Vivement l'été!
Alors voilà, je vous ai négligés, mais Le Copain et moi, on part en appartement ensemble dès le mois de mai. Ben oui! Surprise! Ce fut une décision rapide, mais vous savez, parfois, on n'a pas réellement besoin de plus de jours de réflexion, pour savoir ce qu'on veut. Donc, c'est cela, après avoir visité des tas de 4½ (ben... 3, en fait), on s'est trouvé un petit nid douillet tout près de l'Université de Montréal et à quelques stations de métro à peine de mon cégep. Je pousse encore de petits d'angoisse, mais franchement, j'ai affreusement hâte d'emménager. Ça ne peut que bien aller!
Dans une autre sphère de ma si palpitante vie... j'ai été accepté pour le programme SENS! Le programme SENS (Sensiblisation aux Échanges Nord-Sud), c'est une option spéciale à mon cégep, qui permet aux étudiants en Sciences Humaines de modifier un peu leur horaire pour avoir des cours axés sur le Sud (Amérique Latine, Afrique) tout ça dans l'optique d'aller passer un mois dans un pays de l'Hémisphère Sud à la fin du programme. Depuis quelques années, ils vont en Équateur, alors ce sera probablement notre cas aussi. Ça faisait quelques années que j'avais envie de visiter ce pays, c'est l'occasion rêvée!
DE PLUS! Je voulais peut-être prendre une année sabatique pour voyager... mais ce projet-là me permet de rester autant de temps que je veux là-bas. Donc, je penserais bien rester pour le reste de l'été (Donc, de fin mai à fin août) et commencer l'université en automne 2010, comme mon cheminement «normal» ferait en sorte. Donc, je ne «perds» pas d'année et tout est merveilleux :) .
Sinon, il fait beau, il fait chaud (sauf aujourd'hui, mais demain, le beau temps reviendra!), je suis très occupée et j'ai hâte en mautadit que la session finisse...
Mais ça s'en vient, plus que 6 semaines de cours!
Vivement l'été!
Libellés :
Dans ma p'tite vie,
Mes ébats de fille en couple
vendredi 20 mars 2009
18 ans
Ben oui. Finalement. C'est demain!
Aujourd'hui, c'est donc ma dernière journée d'immaturité. Je pense que je vais en profiter pour faire des blagues de pipi-caca-poil toute la journée.
Je l'ai attendu, je l'ai rêvé. Ben voilà. À moi la carte de crédit, le cellulaire, les bars, le vote, l'alcool, les films pornos, le gros lot (parce que moi, à mes 18 ans, je vais acheter un billet de loterie et je vais gagner, vous savez).
Fini, les demandes de consentement des parents (ce qui est un peu dur, quand ceux-ci sont à 350 km de moi...).
Le 21 je me fais... tatouer!
Un escargot, comme de fait.
Oh, et mes 3 meilleures amies de Trois-Rivières vont venir, ce soir... j'ai si hâte de les voir!
On sera une vingtaine en tout, et ce sera tout simplement génial.
Oui, définitivement, j'ai hâte à ce soir... et à demain!
Aujourd'hui, c'est donc ma dernière journée d'immaturité. Je pense que je vais en profiter pour faire des blagues de pipi-caca-poil toute la journée.
Je l'ai attendu, je l'ai rêvé. Ben voilà. À moi la carte de crédit, le cellulaire, les bars, le vote, l'alcool, les films pornos, le gros lot (parce que moi, à mes 18 ans, je vais acheter un billet de loterie et je vais gagner, vous savez).
Fini, les demandes de consentement des parents (ce qui est un peu dur, quand ceux-ci sont à 350 km de moi...).
Le 21 je me fais... tatouer!
Un escargot, comme de fait.
Oh, et mes 3 meilleures amies de Trois-Rivières vont venir, ce soir... j'ai si hâte de les voir!
On sera une vingtaine en tout, et ce sera tout simplement génial.
Oui, définitivement, j'ai hâte à ce soir... et à demain!
mercredi 11 mars 2009
Parce qu'Amélie m'a taggée!
vendredi 6 mars 2009
Petit truc pas retravaillé
- C'est fini, rhabille-toi.
Je remets ma jupe, en attachant les boutons un par un. Je prends un temps infini pour le faire, tout en l'observant du coin de l'oeil.
Lui, il se dépêche. Il regarde sa montre ; je l'aperçois deux ou trois fois, alors qu'il tente (trop rapidement) de rattacher sa ceinture.
- J'ai pas toute la journée.
Comme si je le dérangeais. Comme si, en acceptant que je m'offre à lui, il me faisait une faveur. Je suis son objet. Il m'utilise. Qu'il me gifle! Je ne résisterai pas. Qu'il me souille, me salisse, m'éjacule sur les seins! Je resterai impassible. Qu'il me fouette, m'étrangle, me tue; je suis à lui, je lui appartiens, il est mon maître et je suis sa chienne.
Je continue à attacher mes boutons.
Il soupire d'impatience, attrape ma chemise, me l'enfile un peu trop brusquement. Il me jette ma veste. Me pousse jusqu'à la porte.
- Il faut que tu t'en ailles ; j'attends quelqu'un. À lundi.
La porte s'est déjà fermée dans mon dos. En sortant du bloc, j'ai le temps d'apercevoir la grande brune qui se dirige au deuxième étage. Son parfum me donne mal au coeur ; le bruit de ses talons hauts m'agresse.
Peut-être que lundi, il me demandera en mariage.
Je remets ma jupe, en attachant les boutons un par un. Je prends un temps infini pour le faire, tout en l'observant du coin de l'oeil.
Lui, il se dépêche. Il regarde sa montre ; je l'aperçois deux ou trois fois, alors qu'il tente (trop rapidement) de rattacher sa ceinture.
- J'ai pas toute la journée.
Comme si je le dérangeais. Comme si, en acceptant que je m'offre à lui, il me faisait une faveur. Je suis son objet. Il m'utilise. Qu'il me gifle! Je ne résisterai pas. Qu'il me souille, me salisse, m'éjacule sur les seins! Je resterai impassible. Qu'il me fouette, m'étrangle, me tue; je suis à lui, je lui appartiens, il est mon maître et je suis sa chienne.
Je continue à attacher mes boutons.
Il soupire d'impatience, attrape ma chemise, me l'enfile un peu trop brusquement. Il me jette ma veste. Me pousse jusqu'à la porte.
- Il faut que tu t'en ailles ; j'attends quelqu'un. À lundi.
La porte s'est déjà fermée dans mon dos. En sortant du bloc, j'ai le temps d'apercevoir la grande brune qui se dirige au deuxième étage. Son parfum me donne mal au coeur ; le bruit de ses talons hauts m'agresse.
Peut-être que lundi, il me demandera en mariage.
mardi 3 mars 2009
Gros bébé
«Si vous voulez étudier quelque chose de facile, allez en Sciences Natures. C'est ridiculement simple : toujours les mêmes formules, les mêmes règles. Tout est objectif, fixé dans le béton. Les Sciences Humaines, c'est difficile : les choses évoluent, les facteurs ne sont jamais les mêmes. Tout est subjectif, en constant changement.»
Je n'ai jamais été aussi d'accord.
Avoir 100% en mathématiques? Il n'y a rien de plus facile.
Avoir 100% dans un résumé de sociologie, c'est à la limite de l'impossible.
Ça me fâche. Je suis vraiment un gros bébé.
Je n'ai jamais été aussi d'accord.
Avoir 100% en mathématiques? Il n'y a rien de plus facile.
Avoir 100% dans un résumé de sociologie, c'est à la limite de l'impossible.
Ça me fâche. Je suis vraiment un gros bébé.
dimanche 1 mars 2009
À l'envers
Soirée particulièrement difficile, au boulot.
J'ai un mal de gorge terrible, tout le monde est à cran, la tension est palpable à l'oeil nu. On ne se crie pas dessus, mais c'est tout juste. Il faut dire qu'on est tous fatigués, pour diverses raisons. Quand même : une ambiance glaciale, un peu comme dehors, présentement.
Et à travers tout ça, moi, je suis un peu déprimée.
Oh, le reste de ma fin de semaine a été chouette, ce n'est pas ça. Elle a été courte et agréable. Seulement, ce climat, il m'affecte et je n'ai jamais su comment gérer ces choses : comment agir, quand les gens sont autant à fleur de peau, quand ils sont si froids.
La soirée se termine, il ne reste plus que nous deux : nos coéquipiers sont partis depuis peu et les jeunes sont déjà tous couchés.
Je m'enfouis dans ses bras quelques instants...
Déjà, je sens que ça va mieux.
J'ai un mal de gorge terrible, tout le monde est à cran, la tension est palpable à l'oeil nu. On ne se crie pas dessus, mais c'est tout juste. Il faut dire qu'on est tous fatigués, pour diverses raisons. Quand même : une ambiance glaciale, un peu comme dehors, présentement.
Et à travers tout ça, moi, je suis un peu déprimée.
Oh, le reste de ma fin de semaine a été chouette, ce n'est pas ça. Elle a été courte et agréable. Seulement, ce climat, il m'affecte et je n'ai jamais su comment gérer ces choses : comment agir, quand les gens sont autant à fleur de peau, quand ils sont si froids.
La soirée se termine, il ne reste plus que nous deux : nos coéquipiers sont partis depuis peu et les jeunes sont déjà tous couchés.
Je m'enfouis dans ses bras quelques instants...
Déjà, je sens que ça va mieux.
lundi 23 février 2009
Comme des enfants
Alors tu vois, comme tout se mêle
Et du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-tête
Ton rire me crie, de te lâcher
Avant de perdre prise, et d'abandonner
Car je ne t'en demanderai jamais autant
Déjà que tu me traites, comme un grand enfant
Et nous n'avons plus rien à risquer
À part nos vies qu'on laisse de côté
Ça y est, moi aussi, je suis tombée sous l'effet Coeur de Pirate.
Et du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-tête
Ton rire me crie, de te lâcher
Avant de perdre prise, et d'abandonner
Car je ne t'en demanderai jamais autant
Déjà que tu me traites, comme un grand enfant
Et nous n'avons plus rien à risquer
À part nos vies qu'on laisse de côté
Ça y est, moi aussi, je suis tombée sous l'effet Coeur de Pirate.
samedi 21 février 2009
jeudi 19 février 2009
Malade
J'ai fait de la fièvre toute la nuit.
J'ai déliré, halluciné, eu peur. J'ai surtout eu peur parce qu'à chaque fois que je me levais pour aller chercher un verre d'eau, j'étais sur le point de m'évanouir. Et si j'étais tombé? Ç'aurait pu prendre des jours avant que quelqu'un s'en rende compte.
Là, j'ai mal à la tête.
J'ai froid.
J'ai les poumons qui font mal.
J'ai une vague envie de vomir.
Et je me demande sérieusement si je vais aller à mon cours, à midi.
J'ai déliré, halluciné, eu peur. J'ai surtout eu peur parce qu'à chaque fois que je me levais pour aller chercher un verre d'eau, j'étais sur le point de m'évanouir. Et si j'étais tombé? Ç'aurait pu prendre des jours avant que quelqu'un s'en rende compte.
Là, j'ai mal à la tête.
J'ai froid.
J'ai les poumons qui font mal.
J'ai une vague envie de vomir.
Et je me demande sérieusement si je vais aller à mon cours, à midi.
lundi 16 février 2009
Matin de février
Aujourd'hui, le soleil s'est levé en même temps que moi.
Le printemps s'en vient! :)
Le printemps s'en vient! :)
mardi 10 février 2009
La paresse
'Savez, moi, dans la vie, j'ai parfois tendance à être stressée. À mal gérer mon temps, surtout. À être follement angoissée les 5 dernières minutes qui précèdent un évènement important.
Ça m'a valu des bleus (parce que je ne fais plus attention à ce que je fais), des tablettes entières de chocolat ingurgitées à toute vitesse, des appels hystériques à ma mère, des nuits d'insomnie incroyables... et, sauf pour l'insomnie, ce n'est pas réglé du tout.
Le principal problème, c'est que je procrastine comme une maniaque. Je pars à 7h57 pour mon cours de 8h00. Je fais à 11h45 un travail qui doit être remis à midi. Je me couche à minuit et demi parce que je suis trop paresseuse pour aller jusqu'à mon lit. C'est maladif, parfois.
Pis en plus, j'accepte tout. Tout, tout, tout. Je me dis que je peux tout faire : socialement, amoureusement, académiquement et professionnellement. À date, c'est l'académique qui en pâtit un peu. Oh, rien de bien grave, après tout, on est en début de session et mes mini-évaluations ont donné des résultats plutôt concluants. Sauf que bientôt, lorsque je serai dans le rush, lorsque je devrai étudier réellement, ça va faire mal.
Je vais apprendre à gérer mon temps. À utiliser mon agenda. À me fixer des soirs pour faire mes travaux.
Pis surtout, à ne pas faire de crise de nerfs d'ici la fin de la session.
Courage!
Ça m'a valu des bleus (parce que je ne fais plus attention à ce que je fais), des tablettes entières de chocolat ingurgitées à toute vitesse, des appels hystériques à ma mère, des nuits d'insomnie incroyables... et, sauf pour l'insomnie, ce n'est pas réglé du tout.
Le principal problème, c'est que je procrastine comme une maniaque. Je pars à 7h57 pour mon cours de 8h00. Je fais à 11h45 un travail qui doit être remis à midi. Je me couche à minuit et demi parce que je suis trop paresseuse pour aller jusqu'à mon lit. C'est maladif, parfois.
Pis en plus, j'accepte tout. Tout, tout, tout. Je me dis que je peux tout faire : socialement, amoureusement, académiquement et professionnellement. À date, c'est l'académique qui en pâtit un peu. Oh, rien de bien grave, après tout, on est en début de session et mes mini-évaluations ont donné des résultats plutôt concluants. Sauf que bientôt, lorsque je serai dans le rush, lorsque je devrai étudier réellement, ça va faire mal.
Je vais apprendre à gérer mon temps. À utiliser mon agenda. À me fixer des soirs pour faire mes travaux.
Pis surtout, à ne pas faire de crise de nerfs d'ici la fin de la session.
Courage!
mardi 3 février 2009
Résolutions de 2e session
Ben oui, il faut que j'en prenne. Ça devient essentiel. Pourquoi? Parce que mon degré de motivation frôle le 0.
1. Dormir dans la nuit du lundi (Je travaille de 15 à 23 le lundi et de 6 à 9 le mardi, ce qui me laisse 7 heures pour dormir. Il faut que je les prenne au complet).
2. Aller à tous mes cours, à moins de cas de force majeure.
3. Vérifier mon agenda sur une base quotidienne.
4. Faire tous mes devoirs.
5. Me coucher avant minuit, de préférence avant 23h00.
Bon, ça va être ça. Il faut que je fasse attention, vraiment. Ça commence à devenir dangereux, mon affaire.
J'ai plus d'heures de cours.
Plus d'heures au travail.
Un copain (ça fait encore tout drôle :) ).
Une vie sociale assez remplie.
Pis en plus, j'ai une forte tendance à procrastiner.
Je vais donc tenter de les respecter, ces 5 points.
1. Dormir dans la nuit du lundi (Je travaille de 15 à 23 le lundi et de 6 à 9 le mardi, ce qui me laisse 7 heures pour dormir. Il faut que je les prenne au complet).
2. Aller à tous mes cours, à moins de cas de force majeure.
3. Vérifier mon agenda sur une base quotidienne.
4. Faire tous mes devoirs.
5. Me coucher avant minuit, de préférence avant 23h00.
Bon, ça va être ça. Il faut que je fasse attention, vraiment. Ça commence à devenir dangereux, mon affaire.
J'ai plus d'heures de cours.
Plus d'heures au travail.
Un copain (ça fait encore tout drôle :) ).
Une vie sociale assez remplie.
Pis en plus, j'ai une forte tendance à procrastiner.
Je vais donc tenter de les respecter, ces 5 points.
vendredi 30 janvier 2009
AH!
Sérieusement, là.
Malgré que je dorme environ 4 heures par nuit, que j'arrive en retard à tous mes cours et que je somnole à tout bout de champ...
Je pense que j'ai rarement autant aimé ma vie. Je me sens si bien avec moi-même, avec les autres, avec lui...
Tout un ensemble de facteurs qui font qu'en ce moment, je me sens plus épanouie que jamais.
Je suis allée boire du thé et fumer de la shisha avec de tout nouveaux amis, ce soir. C'était le fun.
Je vais au Igloo Fest, demain. Ça va être trippant.
Il vient coucher chez moi, samedi. Ça va être merveilleux.
Et dimanche?
Je travaille ; et je maintiens que mon travail est le plus beau au monde.
Je me permets de pousser un AH! de contentement, de satisfaction, d'extase.
Vite, vite. Ouvrons grand la mâchoire pour saisir tout ce bonheur, laissons-le roucouler dans notre bouche, digérons-le pendant des heures avec des gargouillis de joie et surtout, ne le laissons jamais partir.
Malgré que je dorme environ 4 heures par nuit, que j'arrive en retard à tous mes cours et que je somnole à tout bout de champ...
Je pense que j'ai rarement autant aimé ma vie. Je me sens si bien avec moi-même, avec les autres, avec lui...
Tout un ensemble de facteurs qui font qu'en ce moment, je me sens plus épanouie que jamais.
Je suis allée boire du thé et fumer de la shisha avec de tout nouveaux amis, ce soir. C'était le fun.
Je vais au Igloo Fest, demain. Ça va être trippant.
Il vient coucher chez moi, samedi. Ça va être merveilleux.
Et dimanche?
Je travaille ; et je maintiens que mon travail est le plus beau au monde.
Je me permets de pousser un AH! de contentement, de satisfaction, d'extase.
Vite, vite. Ouvrons grand la mâchoire pour saisir tout ce bonheur, laissons-le roucouler dans notre bouche, digérons-le pendant des heures avec des gargouillis de joie et surtout, ne le laissons jamais partir.
dimanche 25 janvier 2009
Les 1001 petits plaisirs de la vie (1-10)
Je vole le concept à Isabelle Ménard, qui l'a elle-même volé à un livre. Quelques uns à la fois, quand j'en ai envie.
1. Plier du linge encore tout chaud qui vient à peine de sortir de la sécheuse.
2. Se réveiller le matin blottie contre un corps brûlant.
3. Jouer avec les couleurs du pastel gras.
4. Se laisser transporter par la voix de Norah Jones.
5. Lire les commentaires laissés sur mon Wall, mes photos ou mes statuts, sur Facebook.
6. Lire les nouveaux billets des blogs que j'aime.
7. Passer un après-midi à rire et à geler comme un glaçon dans Chinatown.
8. Jouer du piano quand personne ne nous écoute.
9. Paresser au lit un peu plus que prévu.
10. S'habiller de façon méthodique, selon un ordre précis.
1. Plier du linge encore tout chaud qui vient à peine de sortir de la sécheuse.
2. Se réveiller le matin blottie contre un corps brûlant.
3. Jouer avec les couleurs du pastel gras.
4. Se laisser transporter par la voix de Norah Jones.
5. Lire les commentaires laissés sur mon Wall, mes photos ou mes statuts, sur Facebook.
6. Lire les nouveaux billets des blogs que j'aime.
7. Passer un après-midi à rire et à geler comme un glaçon dans Chinatown.
8. Jouer du piano quand personne ne nous écoute.
9. Paresser au lit un peu plus que prévu.
10. S'habiller de façon méthodique, selon un ordre précis.
vendredi 23 janvier 2009
Nouveau libellé : mes ébats de fille en couple
C'est drôle, mais je ne trouve pas que ça fait tant de différence, qu'on soit en couple.
Hier soir, je méditais là-dessus et j'en suis arrivée à une conclusion toute simple : C'est parce que ça fait longtemps qu'on en est un. Officieusement, certes, mais on jouait le couple quand même. Il y a 2 jours, on a simplement mis un nom là-dessus et on l'a affiché à la face du monde.
Il y en a beaucoup qui sont outrés, qui me disent de faire attention, que je vais me faire avoir. Il y en a qui ont une véritable limite psychologique face à notre différence d'âge et qui, même en essayant, ne peuvent l'accepter. Et il y a ceux qui sont contents pour moi. Qui sont heureux de me voir heureuse. Ceux-là, je les prendrais tous dans mes bras.
Ma maman m'a dit que c'était correct, qu'elle se réjouissait de mon bonheur (et elle m'a aussi dit d'aller m'acheter des condoms, mais bon).
Moi aussi, je me réjouis. Mais juste un peu. Un tout petit peu de rien du tout. Un tout petit peu tout rikiki qui se cache dans le fond d'un tiroir. Ouin, vraiment pas beaucoup, là.
Bon, je pense que je vais me rendre à mon cours de philo en chantant, moi.
Hier soir, je méditais là-dessus et j'en suis arrivée à une conclusion toute simple : C'est parce que ça fait longtemps qu'on en est un. Officieusement, certes, mais on jouait le couple quand même. Il y a 2 jours, on a simplement mis un nom là-dessus et on l'a affiché à la face du monde.
Il y en a beaucoup qui sont outrés, qui me disent de faire attention, que je vais me faire avoir. Il y en a qui ont une véritable limite psychologique face à notre différence d'âge et qui, même en essayant, ne peuvent l'accepter. Et il y a ceux qui sont contents pour moi. Qui sont heureux de me voir heureuse. Ceux-là, je les prendrais tous dans mes bras.
Ma maman m'a dit que c'était correct, qu'elle se réjouissait de mon bonheur (et elle m'a aussi dit d'aller m'acheter des condoms, mais bon).
Moi aussi, je me réjouis. Mais juste un peu. Un tout petit peu de rien du tout. Un tout petit peu tout rikiki qui se cache dans le fond d'un tiroir. Ouin, vraiment pas beaucoup, là.
Bon, je pense que je vais me rendre à mon cours de philo en chantant, moi.
Libellés :
Dans ma p'tite vie,
Mes ébats de fille en couple
mardi 20 janvier 2009
Pêle-mêle, dans ma tête
En ce moment, je capote un peu.
J'étais relativement sereine, quand je lui ai dit qu'on pouvait (devrait) être un couple officiellement.
Smile like you mean it and let yourself let go
[...]
Say goodbye to the world you thought you lived in
Ben oui, j'écoute Mika. C. avait quelques phrases dans son message perso et ça m'a donné envie.
Autant, dans les derniers jours, je jurais (non sans raison) que je ne m'étais jamais sentie aussi bien, autant, depuis les dernières minutes, je suis terrifiée. Totalement. Pas juste un peu. Vraiment, pas juste un peu du tout. Je sais que ça peut fonctionner.
Sauf qu'en ce moment, c'est comme si de vieux démons remontaient.
Et j'ai peur de ne pas savoir gérer un couple.
J'ai atrocement peur de lui faire mal.
J'ai peur de m'y cogner tête première et que finalement, elle m'ait assomée, cette brique.
J'ai vraiment très envie qu'on me dise que tout ira bien. J'aimerais que le scepticisme de mon entourage cesse, qu'on me dise que je suis capable, que je vais y arriver. Que ce n'est pas vrai que les couples, c'est juste pour les autres.
3 words, 8 letters.
J'étais relativement sereine, quand je lui ai dit qu'on pouvait (devrait) être un couple officiellement.
Smile like you mean it and let yourself let go
[...]
Say goodbye to the world you thought you lived in
Ben oui, j'écoute Mika. C. avait quelques phrases dans son message perso et ça m'a donné envie.
Autant, dans les derniers jours, je jurais (non sans raison) que je ne m'étais jamais sentie aussi bien, autant, depuis les dernières minutes, je suis terrifiée. Totalement. Pas juste un peu. Vraiment, pas juste un peu du tout. Je sais que ça peut fonctionner.
Sauf qu'en ce moment, c'est comme si de vieux démons remontaient.
Et j'ai peur de ne pas savoir gérer un couple.
J'ai atrocement peur de lui faire mal.
J'ai peur de m'y cogner tête première et que finalement, elle m'ait assomée, cette brique.
J'ai vraiment très envie qu'on me dise que tout ira bien. J'aimerais que le scepticisme de mon entourage cesse, qu'on me dise que je suis capable, que je vais y arriver. Que ce n'est pas vrai que les couples, c'est juste pour les autres.
3 words, 8 letters.
dimanche 18 janvier 2009
Jouer le jeu
Avant, c'était dur de cacher lorsque j'étais triste. Ça me rongeait, mais j'avais appris à sourire malgré tout, quoiqu'avec un peu de difficulté.
Aujourd'hui, j'ai énormément de difficulté à ne pas exposer mon bonheur. À agir comme d'habitude. Dès que je suis seule, je me mets à sourire béatement, le regard dans le vide. Quand je suis avec les autres, je m'occupe à tout prix, pour être certaine de ne pas tomber dans cet état semi rêveur qui serait un peu louche, au travail.
Je dois dire que je me suis rarement sentie aussi bien. Et saine.
Aujourd'hui, j'ai énormément de difficulté à ne pas exposer mon bonheur. À agir comme d'habitude. Dès que je suis seule, je me mets à sourire béatement, le regard dans le vide. Quand je suis avec les autres, je m'occupe à tout prix, pour être certaine de ne pas tomber dans cet état semi rêveur qui serait un peu louche, au travail.
Je dois dire que je me suis rarement sentie aussi bien. Et saine.
mardi 13 janvier 2009
This is about to change
Mai 2008 :
Tu n'as plus besoin de moi. Je me répète cela, et ça me fait un peu mal. Je prends conscience, maintenant, que je ne suis qu'un pilier auquel toutes ces âmes perdues s'accrochent. Par contre, une fois l'âme retrouvée, elle n'a plus besoin de moi. Tu n'as plus besoin que je te supporte, que je t'encourage, que je te comprenne. Tu traceras ton chemin tout seul.
Ouin. Après 3 ans de niaisage, on a finalement réussi à prendre des sentiers qui ne s'entrecroisaient plus.
3 ans de mauvais timing, de baisers volés au temps, de rechutes passagères, d'inhibitions perdues de notre propre vouloir.
Tu es encore perdu? Too bad. Pas moi. Je sais très bien où je suis et où je veux être. Te voir jeudi, ça n'a fait que me conforter encore davantage dans mes pensées.
Dans le passé, c'était n'importe quoi ; aujourd'hui, ce n'est plus rien.
Allez, trouve-la, toi aussi, cette personne merveilleuse qui transforme les triangles en sapins ; elle t'emmènera dans cet endroit qui existe peut-être vraiment, au fond.
Tu n'as plus besoin de moi. Je me répète cela, et ça me fait un peu mal. Je prends conscience, maintenant, que je ne suis qu'un pilier auquel toutes ces âmes perdues s'accrochent. Par contre, une fois l'âme retrouvée, elle n'a plus besoin de moi. Tu n'as plus besoin que je te supporte, que je t'encourage, que je te comprenne. Tu traceras ton chemin tout seul.
Ouin. Après 3 ans de niaisage, on a finalement réussi à prendre des sentiers qui ne s'entrecroisaient plus.
3 ans de mauvais timing, de baisers volés au temps, de rechutes passagères, d'inhibitions perdues de notre propre vouloir.
Tu es encore perdu? Too bad. Pas moi. Je sais très bien où je suis et où je veux être. Te voir jeudi, ça n'a fait que me conforter encore davantage dans mes pensées.
Dans le passé, c'était n'importe quoi ; aujourd'hui, ce n'est plus rien.
Allez, trouve-la, toi aussi, cette personne merveilleuse qui transforme les triangles en sapins ; elle t'emmènera dans cet endroit qui existe peut-être vraiment, au fond.
dimanche 11 janvier 2009
Oh, et puis, je vais les dire, les bons mots
J'ai lu, entendu, vu quelque part un jour : «Chaque amour est comme le premier.» C'est très mal cité, mais ça ressemblait à cela.
Je crois que ça résume bien la situation.
Je ne pourrai jamais nier que je suis handicapée amoureusement, par contre.
Je fais de l'autocensure. Parfois, le phénomène a lieu dans ma tête sans même que je m'en rende compte ; je n'ai même pas besoin de me forcer à ne pas dire mes pensées, car elles disparaissent d'elles-mêmes. Elles s'autodétruisent avant que j'aie envie de les partager. En fait, non. Elles vont dans mes dossiers confidentiels, j'imagine.
Tranquillement, je réapprends. Ou j'apprends pour la première fois, c'est du pareil au même, dans ce cas-ci. Je ne vais pas trop vite, parce que je sais que sinon, je vais prendre la fuite automatiquement. Je ne le veux pas. Cette fois, j'ai l'impression que ça vaut la peine de rester. De m'agrafer les pieds au plancher et d'attendre que mes réflexes fichent le camp. Et ils vont ficher le camp. De leur plein gré ou par la force ; ils commencent déjà à s'amollir.
Ce soir, je fais quelque chose de quétaine.
Je laisse la page de son blog ouverte et je vais me coucher dans mon lit, à quelques mètres.
Oui, je sais.
Mais je m'en fiche.
Je crois que ça résume bien la situation.
Je ne pourrai jamais nier que je suis handicapée amoureusement, par contre.
Je fais de l'autocensure. Parfois, le phénomène a lieu dans ma tête sans même que je m'en rende compte ; je n'ai même pas besoin de me forcer à ne pas dire mes pensées, car elles disparaissent d'elles-mêmes. Elles s'autodétruisent avant que j'aie envie de les partager. En fait, non. Elles vont dans mes dossiers confidentiels, j'imagine.
Tranquillement, je réapprends. Ou j'apprends pour la première fois, c'est du pareil au même, dans ce cas-ci. Je ne vais pas trop vite, parce que je sais que sinon, je vais prendre la fuite automatiquement. Je ne le veux pas. Cette fois, j'ai l'impression que ça vaut la peine de rester. De m'agrafer les pieds au plancher et d'attendre que mes réflexes fichent le camp. Et ils vont ficher le camp. De leur plein gré ou par la force ; ils commencent déjà à s'amollir.
Ce soir, je fais quelque chose de quétaine.
Je laisse la page de son blog ouverte et je vais me coucher dans mon lit, à quelques mètres.
Oui, je sais.
Mais je m'en fiche.
Libellés :
Dans ma p'tite vie,
Dans ma tête,
Délire amoureux
mardi 6 janvier 2009
Ma symphonie
Mes doigts s'empêtrent.
Ces mélodies que je savais si bien avant, je les ai oubliées. Les notes se mélangent devant mes yeux ; je n'arrivent plus à comprendre ce qui est écrit sur la portée. Je compte. Fa, la, do, mi. Non, c'est en clé de fa. La, do, mi, sol. C'est un sol. Dièse? Oui. Je le joue. Je recommence pour la note suivante.
Avant, tout ça coulait, roucoulait, m'emmenait ailleurs. Avant, je faisais mes gammes 5 fois par jour, juste pour le plaisir d'entendre les notes, l'harmonie qui s'en dégageait. Avant, je vénérais Beethoven, je bûchais pendant des heures sur des sons qui ne me disaient rien du tout, jusqu'à ce que j'y arrive.
Avant, j'ouvrais le piano dès que j'étais seule dans la maison et je caressais les notes avant de commencer.
J'ai arrêté de jouer quand le piano est devenu hors de portée ; quand je suis (presque) partie de la maison à 12 ans. J'ai fait du piano d'accompagnement, mais je détestais. J'ai joué sur un clavier, mais je trouvais (et trouve toujours) que c'était une insulte au piano classique.
Aujourd'hui, j'ai pratiquement tout perdu ce que j'avais acquis.
Sauf l'extase d'écouter les autres jouer.
Et je ne m'en prive pas.
Ces mélodies que je savais si bien avant, je les ai oubliées. Les notes se mélangent devant mes yeux ; je n'arrivent plus à comprendre ce qui est écrit sur la portée. Je compte. Fa, la, do, mi. Non, c'est en clé de fa. La, do, mi, sol. C'est un sol. Dièse? Oui. Je le joue. Je recommence pour la note suivante.
Avant, tout ça coulait, roucoulait, m'emmenait ailleurs. Avant, je faisais mes gammes 5 fois par jour, juste pour le plaisir d'entendre les notes, l'harmonie qui s'en dégageait. Avant, je vénérais Beethoven, je bûchais pendant des heures sur des sons qui ne me disaient rien du tout, jusqu'à ce que j'y arrive.
Avant, j'ouvrais le piano dès que j'étais seule dans la maison et je caressais les notes avant de commencer.
J'ai arrêté de jouer quand le piano est devenu hors de portée ; quand je suis (presque) partie de la maison à 12 ans. J'ai fait du piano d'accompagnement, mais je détestais. J'ai joué sur un clavier, mais je trouvais (et trouve toujours) que c'était une insulte au piano classique.
Aujourd'hui, j'ai pratiquement tout perdu ce que j'avais acquis.
Sauf l'extase d'écouter les autres jouer.
Et je ne m'en prive pas.
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Dans ma p'tite vie,
Dans ma tête,
Pensées désagréables
dimanche 4 janvier 2009
Ouin.
Plus j'y pense, plus je me dis que je ne retournerai pas au Camp Papillon cet été.
J'ai envie de me trouver un boulot à Montréal. De sortir les fins de semaine avec mes amis. De continuer à travailler à la Résidence Papillon... et, éventuellement, de passer du temps avec le Vieillard.
C'était vraiment génial l'été passé, mais là, j'ai envie de passer à autre chose et de vivre un été normal, pour une fois (on se souviendra tous de mon overdose de dinosaures en 2006 et de ces autres étés pas très conventionnels).
Surtout, je ne veux pas que ça fasse comme ç'a fait pendant tout mon secondaire. Partir 2 mois (3, dans ce cas-ci) et laisser mon monde tourner sans moi pendant ce temps. Revenir, et ne plus en faire partie totalement, avoir manqué un gros bout de vie de mon entourage. Je veux continuer à faire partie du clan, baon.
D'ici là, il faut que je m'assure d'avoir l'emploi que je convoite, que je me trouve un appartement (et des colocs) pour l'an prochain et que je cherche un endroit où rester pour le mois de juin.
Gneuh.
J'ai envie de me trouver un boulot à Montréal. De sortir les fins de semaine avec mes amis. De continuer à travailler à la Résidence Papillon... et, éventuellement, de passer du temps avec le Vieillard.
C'était vraiment génial l'été passé, mais là, j'ai envie de passer à autre chose et de vivre un été normal, pour une fois (on se souviendra tous de mon overdose de dinosaures en 2006 et de ces autres étés pas très conventionnels).
Surtout, je ne veux pas que ça fasse comme ç'a fait pendant tout mon secondaire. Partir 2 mois (3, dans ce cas-ci) et laisser mon monde tourner sans moi pendant ce temps. Revenir, et ne plus en faire partie totalement, avoir manqué un gros bout de vie de mon entourage. Je veux continuer à faire partie du clan, baon.
D'ici là, il faut que je m'assure d'avoir l'emploi que je convoite, que je me trouve un appartement (et des colocs) pour l'an prochain et que je cherche un endroit où rester pour le mois de juin.
Gneuh.
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